lundi, 06 novembre 2006
Visite chez Michel Jeannès
"Life ? Nothing but buttoning and unbuttoning !" (George Bernard Shaw)
18:35 Écrit par kl loth | Lien permanent | Commentaires (5) |
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"Life ? Nothing but buttoning and unbuttoning !" (George Bernard Shaw)
18:35 Écrit par kl loth | Lien permanent | Commentaires (5) |
Commentaires
pas de bouton trouvé ce jour, ni le 6 novembre 2005. Je remonte le temps du "Journal d'un fibulanomiste":
"6 novembre 2004. gare de Perrache. De retour de l’enterrement de Marie-Aude, très émouvant. Un ornement en métal sans attache et orné d’une étoile, dernier clin d’oeil d’une amie qui m’a si souvent indiqué la voie. Je prends un train pour Paris où la galerie Satellite fait son expo collective annuelle intitulée “Premiers indices”. Soirée en compagnie de Laurent Boissonade et des “chats” chez qui je passe la nuit. Resto corse. Un noir à bourrelet à la station de métro Nation”.
Écrit par : michel Jeannès | mardi, 07 novembre 2006
J'ai pris cette photo le 28 septembre 2006, en clin d'œil au "fibulanomiste". C'est une des nombreuses photos de sol que je prend au fil de mes parcours.
Mais à la différence du "fibulanomiste", j'ai laissé le bouton à terre !
Et sur la photo, sa forme ronde, sa couleur nacrée opèrent une intéressante mise en tension des formes et des teintes...
Écrit par : kl loth | mardi, 07 novembre 2006
un courriel de Yves Caro, à qui je dois ma première rencontre avec Jean-Pierre Brisset et quelques workshops mémorables aux Beaux-arts de Toulouse. Y'a des types comme ça qui vous incitent à brasser les couacs du monde pour en tirer du sens:
Bonjour Michel,
Ai trouvé ceci dans un polar nommé "Le croque-mort a la vie dure" de Tim Cockey. Collection Points n°P1291 du Seuil:
" Le visage de mon père était sympathique et banal. Il se vantait d'être aussi invisible et omniprésent qu'un bouton de chemise. Drôle de fanfaronnade quand on y pense."
Bien à toi
yves
Écrit par : Michel Jeannès | mardi, 07 novembre 2006
Journée au chaud le nez dans les codes html. Je reviens sur Daily-Life et retombe sur "mon" bouton. Il est devenu mien puisqu'il fait lien.
Pas de bouton trouvé ce jour, mais hier, en vidant la boîte des pièces jaunes pour aller chercher du pain, retrouvé deux boutons noirs de la marque "Lucien Boutin", prélevés non par jeu mais pour les mots, comme un gamin chipe, ou comme une petite dîme, sur la boîte à boutons d'Edith Ragot, très alerte vieille dame (97 ans) que j'ai eu le plaisir de croiser et enregistrer lors de la biennale "Vies à vies" (Melle 2005).
Écrit par : michel jeannès | dimanche, 12 novembre 2006
Sympa cette histoire de bouton
Écrit par : Thomas P. | mardi, 06 mars 2007
Les commentaires sont fermés.