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lundi, 11 juin 2007

Daniel Meyer de Buren

[Lors de la visite de l'exposition de Sophie Calle au Pavillon français de la Biennale de Venise], "la ministre était suffisamment émue pour remercier "Daniel Burin", avant de se corriger, Buren n'étant pas spécialement un pratiquant de la taille directe." (Harry Bellet, "Mme Albanel sur la lagune", Le Monde, 09/06/07)

Décidément, une ministre de la Culture qui trébuche sur le nom du plus connu des artistes français, cela laisse pantois !

Qu'en penser ?
Imaginer peut être ce que deviendraient les noms d'autres artistes s'ils étaient de même façon écorchés... Bertrand Levier ? Ou encore Georges Braquet, Henri Matasse, Pablo Becasso, Marcel Ducomp... qui c'est celui-là encore ? ah oui… l'auteur de la mythique statue de sel, intitulée "La Femme de Loth"…

Mme Albanel sur la lagune
LE MONDE | 09.06.07

© Le Monde.fr

23:40 Écrit par kl loth dans politique | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : daniel buren, christine albanel, ministre de la culture, noms propres |

Commentaires

Ceci expliquant cela, je comprends mieux pourquoi je me suis "cassé le nez", littéralement dans le labyrinthe de verre d'Eric Duyckaerts. Pas cassé mais bien cogné.
Quant à Madame Albanel, elle a peut-être confondu "lagune" et "lacune", ce qui sied somme toute assez bien à la "blancheur" de son patronyme. Du blanc au vide il n'y a qu'un pas allègrement franchi.(in Petit traité de sémantique (in)consciente du pouvoir)

Écrit par : michel Jeannès | lundi, 09 juillet 2007

En fait, Madame la ministre a écorché le patronyme de l'auteur des colonnes du palais Royal en le traitant quasi de Bourin. L'exposition de Duyckaerts était produite par la galerie Perroten.

Écrit par : michel jeannès | vendredi, 07 mars 2008

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