lundi, 01 septembre 2008
Rentrée
Ce matin, le regard triste d'une jeune fille à l'arrêt de bus…
13:12 Écrit par kl loth dans de visu | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : rentrée, tristesse |
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Ce matin, le regard triste d'une jeune fille à l'arrêt de bus…
13:12 Écrit par kl loth dans de visu | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : rentrée, tristesse |
Commentaires
Déjà ? je croyais que c'était demain...Zut! je suis en retard , en plus je n'ai pas mes protège-cahiers !
Écrit par : frasby | lundi, 01 septembre 2008
Attribuer le regard triste à la rentrée est un jugement qui peut être hâtif.
Cette jeune fille venait peut-être d'apprendre un truc terrible de chez Pire. Elle avait peut-être perdu un bouton ou rompu des chaînes?
Bref, je perçois (peut-être à tort) un défaut de méthode dans ce commentaire.
Le concept de "rentrée" peut fonctionner avec l'arrêt de bus, la jeune fille, si elle est en âge scolaire (de cela on ne sait rien), le matin (effectivement, la rentrée ne peut avoir lieu le soir) mais "triste" est abusif, du strict point de vue logique.
Wittgenstein
Écrit par : michel jeannès | mercredi, 03 septembre 2008
Attribuer le regard triste à la rentrée est un jugement qui peut être hâtif.
Cette jeune fille venait peut-être d'apprendre un truc terrible de chez Pire. Elle avait peut-être perdu un bouton ou rompu des chaînes?
Bref, je perçois (peut-être à tort) un défaut de méthode dans ce commentaire.
Le concept de "rentrée" peut fonctionner avec l'arrêt de bus, la jeune fille, si elle est en âge scolaire (de cela on ne sait rien), le matin (effectivement, la rentrée ne peut avoir lieu le soir) mais "triste" est abusif, du strict point de vue logique.
Wittgenstein
Écrit par : michel jeannès | mercredi, 03 septembre 2008
J'ai bégayé du doigt!
J'ai bégayé du doigt!
Écrit par : michel jeannès | mercredi, 03 septembre 2008
Moi j'ai trouvé les gens plutôt frétillants.
Au contraire, derrière moi dans le bus, deux jeunes filles fraîchement débarquées à Lyon disaient leur joie de se retrouver dans une grande ville. L'une d'elles venait d'Aubenas.
Bouffée de nostalgie : je me suis souvenue du mois d'octobre 1967 où j'avais débarqué à Lyon de ma Haute-Savoie.
Une chape de Joie, de Liberté m'était tombée dessus...
et quelques mois plus tard...
Écrit par : Rosa | mercredi, 03 septembre 2008
Certains billets de ce blog sont totalement subjectifs.
Bonne rentrée Michel et Rosa !
Écrit par : kl loth | mercredi, 03 septembre 2008
"Une chape de Joie, de Liberté m'était tombée dessus..."
ah quand la joie et la liberté vous encapuchonnent!...on a de la difficulté à s'en défaire. C'est que c'est lourd la joie et la liberté...c'est prégnant! mieux vaudrait ne jamais y goûter.
Écrit par : michel jeannès | samedi, 06 septembre 2008
Les commentaires sont fermés.