vendredi, 16 janvier 2009
Y a-t-il des mouettes à Metz ?
Pour Michel Jeannès qui posait la question récemment, cette preuve par l'image, si tant est que les images prouvent quelque chose…
Une mouette, vue de loin, suite à plusieurs tentatives.
Pas facile à photographier !
Non loin du Temple Neuf, une des vues les plus "tourist shot" de la ville.
© kl loth 2008
(vu le 21/12/2008)
01:14 Écrit par kl loth dans Metz encore, promenade touristique | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : mouette, metz, temple neuf, néo-roman |
Commentaires
Très étonnée par ces mouettes. J'ignorais qu'il y avait de l'eau à Metz.
Je ne connais de Metz que la gare et le quartier qui l'entoure.
Mon mari a travaillé pour l'usine chimique de Carling (tu connais ?) et j'avoue avoir "prié le ciel" pour n'y être jamais mutée.
Écrit par : Rosa | vendredi, 16 janvier 2009
merci KL-Loth pour cette vision épurée du vol.
Il reste en ligne quelques traces du "Printemps des mouettes" que nous avions fété à Lyon-quartier de la Duchère dans le cadre du Prime-time des poètes:
http://www.lyonweb.com/agenda/e/3257/Le-printemps-des-mouettes.htm
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 16 janvier 2009
Pour une visite sémantique d'une rue de Metz:
http://www.lamercerie.eu/indextextfraclorrain.html
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 16 janvier 2009
Très agréable cette vision de Metz. Sur la troisième photo, de quelle époque est la bâtisse?
Écrit par : Léopold | vendredi, 16 janvier 2009
Il y a beaucoup d'eau à Metz, la Moselle pour commencer, le canal, le bras mort, la Seille (qui a la particularité d'être une rivière salée, comme son nom l'indique).
Les abords en centre-ville ont été aménagés en espaces verts très agréables, prolongeant l'esplanade (j'essayerai d'en faire des photos un jour). Et l'île du Saulcy abrite l'université, ainsi qu'une annexe du Centre Pompidou, actuellement en construction.
http://www.metz.fr/metz2/actions/cpm/index.php
Il y a eu des inondations catastrophiques, dont celle de 1983, et les ouvrages de la bibliothèque universitaire ont été fortement endommagés.
Écrit par : kl loth | vendredi, 16 janvier 2009
Pour les renseignements sur la bâtisse, le mieux était de suivre le lien que j'avais préparé.
C'est du néo-roman, inauguré par notre empereur Guillaume II et son épouse en 1904.
Écrit par : kl loth | vendredi, 16 janvier 2009
Carling, ça ne me dit rien…
J'ai connu une ferme à Kerling, mais c'est pas pareil.
Le climat de la contrée est rude, jamais je n'arriverais à me réchauffer. Heureusement il y a parfois des canicules.
Écrit par : kl loth | vendredi, 16 janvier 2009
"jamais je n'arriverais à me réchauffer."
com/com: parlant coquilles et temps des verbes dans un précédent com (cf billet sur "La confiance"), il me semble que l'emploi du conditionnel détermine là une condition caniculaire sine qua non pour que KL-Loth puisse envisager un quelconque réchauffement en ladite contrée au climat défini comme "rude".Jusque dans le mode négatif ("jamais je n'...") elle refuse le froid.
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 16 janvier 2009
"Y a-t-il des mouettes à Metz ?"
si l'on nomme "metzins" les habitants de Metz, il est juste de nommer "mouetzines" les mouettes metzines , sans vouloir offenser les muezzins.
"Et c'est ainsi qu'Allah est grand" (Alexandre Vialatte)
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 16 janvier 2009
"Et c'est ainsi qu'Allah est grand" (Alexandre Vialatte)
notes pour une sémiologie de l'oeuvre monogramme:
ce titre d'Alexandre Vialatte est un bel exemple du monogramme à l'oeuvre. Nous soulignons la présence du morphème diasyllabique ALA au centre du patronyme, viALAtte redoublant la première partie du prénom( AL)exandre, associé depuis 356 avant Jésus-Christ à la grandeur ((Alexandre le Grand, en grec ancien : Ἀλέξανδρος ὁ Μέγας / Aléxandros ho Mégas ). Pas de quoi fouetter le muezzin donc puisque l'Allah viallattois était purement autoréflexif, ce qui ne l'empêchait pas d'être authentiquement grand!
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 16 janvier 2009
"On appelle dissyllabe un mot (ou une séquence) de deux syllabes. "
ERRATA: un a s'est glissé dans le morphème dissylabique ALA ci-dessus. à traquer le grec, j'en perdis le latin.
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 16 janvier 2009
à me pencher sur le patronyme de cet écrivain-fleuve, il m'apparaît que Via-latte pourrait se rapporter à la voie lactée. Les italianistes confirmeront(?)
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 16 janvier 2009
après consulte hâtive d'un dictionnaire en ligne, la voie lactée est chez nos voisins italiens la via lattea. Le "a" précisément qui s'était glissé tantôt pour signifier sa présence-absence. Un a queue de comète dans la voie lactée, c'est-y pas beau tout ça?!!! et là, vraiment Ala est grand!
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 16 janvier 2009
"a queue de comète dans la voie lactée"
queue de comète de la Voie lettrée
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 16 janvier 2009
que de quoi mettre dans la Voie lettrée!
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 16 janvier 2009
à Metz, on trouve un resto "Les Mouettes".
http://www.resto.fr/restaurant/les_mouettes/1370
de la cuisine bretonne, oeuf corse!
comme quoi les mouettes qui viennent pondre à Metz sont de Brest (ou alentours).
Elles sont diasporées et rêvent de leur mer promise c'est sûr!
D'ailleurs, l'hébreu désigne la terre promise par le mot "Eretz". "Ba-Eretz" signifie "en terre promise". Très proche de B-rest, en fait qui pourrait en être la contraction. Faut être une mouette diasporée à Metz pour ressentir ainsi la mer promise à tire d'aile.
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 16 janvier 2009
"Les Mouettes", mais oui !
J'y ai d'ailleurs mangé (pavé de saumon + riz + ratatouille), c'est l'un des rares endroits où l'on trouve une possibilité de manger presque équilibré pour un tout petit prix.
Écrit par : kl loth | vendredi, 16 janvier 2009
4 rue du Palais
les plaisirs du palais...
Écrit par : Michel Jeannès | vendredi, 16 janvier 2009
"jamais je n'arriverais à me réchauffer."
plaisanterie d'un habitant de ces contrées :
-savez-vous quel est le mois le plus froid de l'année ?
-le mois d'août, parce qu'on arrête le chauffage.
Écrit par : Rosa | vendredi, 16 janvier 2009
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