Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 04 mars 2010

Signe de signe (Michel Jeannès)

Ma participation à la revue Chos'e n° 3 (pp. 60-61) interpelle le lecteur.
Michel Jeannès a répondu !

suispassepariciKL.jpg

01:40 Écrit par kl loth dans kl loth à l'œuvre, ping-pong | Lien permanent | Commentaires (59) | Tags : kl loth, michel jeannès, chos'e n° 3, art contemporain, revue, signe |

Commentaires

Les voilà, les vrais privilèges...

Écrit par : Nénette | jeudi, 04 mars 2010

À quels privilèges fais-tu allusion ?

Écrit par : kl loth | jeudi, 04 mars 2010

privilège : 9 synonymes.
Synonymes apanage, avantage, bénéfice, concession, droit, faveur, honneur, monopole, passe-droit.

Écrit par : Nénette | jeudi, 04 mars 2010

9 raisons de plus de dire que je ne comprends pas à quels privilèges tu fais allusion.

L'annonce de ma participation à la revue Chos'e a été faite pour tous mes lecteurs en même temps (sans exception), par la publication du billet intitulé "Tout Chos'e".
Chacun pouvait donc me "faire signe" s'il le souhaitait… Le seul "retour" reçu à ce jour est celui de Michel Jeannès, qui donc a été publié sur ce blog.

Ou bien s'agit-il du privilège d'être publié sur Chos'e ?

Les conditions de participation au prochain numéro sont là :
http://henrychiparlart.blogspot.com/
Sous réserve que cela s'adresse à des personnes très engagées dans une pratique d'écriture et d'art, et dont le travail est en adéquation avec les choix esthétiques des deux personnes qui font cette revue. Affinités, bien sûr.

Écrit par : kl loth | jeudi, 04 mars 2010

Pour Chos'e, je précise : affinités qualitatives, mais pas copinage.

Écrit par : kl loth | jeudi, 04 mars 2010

@nénette: effectivement, le terme n'était peut-être pas très bien choisi ou recouvrait une perception que je ne comprend. Vous savez que les artistes sont engagés dans leur travail à tout instant. Le seul "privilège" est donc, lorsqu'un gant est lancé par un pair, de le relever en essayant d'être pertinent, voir impertinent, certains jours impairs.
Il y a certes des codes partagés qui s'apprennent au fil du temps et de la pratique, et facilitent l'entente. Inter-locuteurs privilégiés certes, mais qui ne dénie à personne l'accès à la table de jeu.

Écrit par : michel jeannès | jeudi, 04 mars 2010

"fais-moi signe […]" s'adresse à tout lecteur, quel que soit son sexe (le masculin valant pour le neutre qui hélas n'existe pas en français), à tout lecteur de la revue Chos'e.

C'est aussi une phrase qui s'insère dans le contexte de mon travail sur l'affectif. Une phrase qui serait adressée à quelqu'un que l'on a le désir de voir (attente amoureuse ? séduction ?). Chacun peut donc se l'approprier, y trouver des échos dans son histoire personnelle, cette phrase est conçue pour cela.
En ce qui me concerne, elle (ne) s'adresse à "no one in particular" !

Certes, l'aplat de couleur noire et le choix de la photo adjacente contextualisent la phrase dans une tonalité particulière.

Écrit par : kl loth | jeudi, 04 mars 2010

Quant à moi, cette simple phrase n'était due qu'à un énervement légitime, vu mon cri : je hais la technique. Mon réseau étant très insuffisant, je ne peux pas développer de compétence, il y a constamment des coupures. Vu mes revenus modestes, je suis sous-équipée... d'où la phrase sur les privilèges, reprise d'ailleurs de Georges Marchais, les vieux connaissent.

Écrit par : Nénette | vendredi, 05 mars 2010

Les artistes aussi ont bien souvent des "revenus modestes" et entrent dans la catégorie "intellectuels précaires" pour lesquels le seul équipement-signe-extérieur-de-richesse est le Mac .

Écrit par : michel jeannès | vendredi, 05 mars 2010

pour fouiller un peu plus la question de la précarité des intellectuels:http://fr.wikipedia.org/wiki/Intellectuels_pr%C3%A9caires

Écrit par : michel jeannès | vendredi, 05 mars 2010

Merci Nénette d'avoir précisé. J'ai craint un reproche à mon égard. Et me suis fait du souci, pouvant tout imaginer, puisque je ne comprenais pas.

Pour ce qui est du réseau, si ta ligne téléphonique est faiblarde, tu peux essayer internet par le câble (quoiqu'avec la société qui s'en occupe cela soit éventuellement galère, d'après l'expérience que j'en ai eue à Metz).
Sinon, il ne faut pas hésiter à faire examiner ton installation (les prises !), ou vérifier que le débit ne soit pas inadapté aux possibilités de la ligne téléphonique (ce qui crée des coupures). Quant au matériel, c'est un choix de vie. Pour moi c'est l'absolue priorité, c'est mon outil de travail, c'est mon lien au monde… Pas de vacances donc, pas de voiture possible pendant longtemps.

(un autre signe extérieur de richesse, la capacité à manier la langue, plusieurs langues)

Quant à Georges Marchais, c'est vrai, je n'ai pas cette référence, étant transfuge d'un milieu familial de droite.
Et (pour reprendre un terme de Pierre Bourdieu), il y avait peu de probabilités, avec mon "habitus", que je sois sensible à sa façon d'être et de communiquer.

Écrit par : kl loth | vendredi, 05 mars 2010

"il y avait peu de probabilités, avec mon "habitus", que je sois sensible à sa façon d'être et de communiquer."

com/com: mais c'est un scandale!!!

Écrit par : michel jeannès | vendredi, 05 mars 2010

Tout à fait d'accord avec les réponses de Michel Jeannès sur la précarité des artistes.
Voir aussi les ouvrages de Pierre-Michel Menger, "Portrait de l'artiste en travailleur", ou encore, "Le Travail créateur. S'accomplir dans l'incertain".

Écrit par : kl loth | vendredi, 05 mars 2010

Salut les possesseurs de Mac ! je squatte présentement dans la bibliothèque d'un vieux quartier bourgeois où notre groupe de conteuses va faire son filage avant la présentation jeudi prochain d'un spectacle portes-ouvertes dans le cadre de couleur femme. (rue de Condé) 19 h 30. Kl-loth, je ne sais pas pourquoi, en voyant la capture d'écran en-tête d'article hier, la phrase du vieux Georges a résonné dans ma tête. Je me bats à longueur de cours avec mes élèves pour qu'ils quittent Facebook pour écrire des mots personnels, des textes à eux, et j'hallucine (comme ciné) quand je vois combien ils sont rapides, doués, scotchés aussi par la technique, tout en étant incapables d'écrire trois lignes sur le thème : mes godasses, enfin, non, pas mes godasses, mes chaussures. Pourtant, j'y arrive, mais quel combat !!! Bon, je file, bon week-end, bonne fête du Livre à Bron, bon Ninkasi etc...

Écrit par : Nénette | vendredi, 05 mars 2010

Sont-ils si doués que cela pour la technique ? La réalité est plus nuancée.

Il y aura toujours des privilégiés, ceux qui par exemple cette nuit partageront leurs orgasmes avec une personne qui leur est chère... Il y a plusieurs sortes de misère : sexuelle, affective, intellectuelle etc.

Pour en revenir aux ordis, il n'y a pas de mystère, il faut beaucoup pratiquer !

Écrit par : Kl loth | vendredi, 05 mars 2010

"com/com: mais c'est un scandale!!!" (Michel Jeannès)

com/com/com : absolument ;-)

Écrit par : kl loth | vendredi, 05 mars 2010

Trafic d'orgasmes, ça va chercher loin ça!

Écrit par : michel jeannès | samedi, 06 mars 2010

Franchement, "mes godasses non mes chaussures", c'est un peu Marchais à côté des ses Pompes comme sujet! Pas de quoi quitter Facebouquin.
Peut-être qu'en essayant "my gode, my ass", seraient-ils plus prolixes?

Écrit par : michel jeannès | samedi, 06 mars 2010

"Gode", oui, qu'est ce que j'ai pu entendre ce mot quand j'essayais (en vain) de donner des cours d'arts dits "plastiques" (ex. cours "de dessin"). J'étais totalement inapte à maîtriser les classes…
Et d'ailleurs, moi-même ne fais plus de dessin depuis une éternité.

Écrit par : kl loth | samedi, 06 mars 2010

Mais non, MJ, on ne peut pas tout dire à des ados en classe. Je ne suis pas d'accord avec votre analyse. D'abord, parce que le sujet sexualité les trouble et que je suis très "absente" et silencieuse sur ce thème par respect pour eux, et pour moi qui ai de loin oublié les émois de leur âge. Ca ne vous empêche pas de faire de l'humour sur ce sujet bateau si vous en avez envie. Et puis, ce thème, c'est à double entrée, on le sait bien... un objet de tous les jours, protection contre le froid, la pluie, la gadoue. Symbole à tous points de vue. Richesse, prestige des marques, banalité du quotidien, entretien, usure, comment je marche, j'use mes talons, etc... j'ai vu des petits textes bien jolis éclore. Ca vous va Monsieur l'Inspecteur ? Vous allez valider ma note pédagogique ?

Écrit par : Nénette | samedi, 06 mars 2010

Kl loth,
Dire mon admiration pour cette contribution magnifique, signifiante, le rapport texte /image juste et non pléonastique, la brièveté, le brio, les petits pas, la belle oblique, recevons ce signe, restons silencieux, prenons le temps de suivre, de voir, de savourer cette chance qu'un créateur s'exprime jusqu'au bout, écoutons cet appel qui s'étouffe et rebondit dans la neige des blogs.
Faire un signe, que le langage soit acte, qu'il soit performatif pour répondre à cet auteur, cette plasticienne qui engage son travail dans la construction même d'une communication réelle.
"Il existe des liaisons inactuelles, inédites, virtuelles, germinatives, en puissance - au sens aristotélicien-, qui, à un moment donné, s'esquissent dans la fragilité du tracer" dit François Laplantine dans le chapitre "dits, non-dits et interdits de la performance. Réflexions sur l'imperfection" du livre sur : la performance une nouvelle idéologie? sous la direction de Benoît Heilbrunn
Il dit encore : "Le réel ne nous est donné à voir que par fragments.(...)
Ce sont ces tout petits liens fugitifs qu'il est stimulant de penser aujourd'hui et non les liaisons fortes d'une culture comptable tendue vers le profit et éliminant tout ce qui reste. (...) Or dans ces petits liens, il y a passage et ratage. (...) La liaison en train de s'effectuer ne se limite nullement à ce qui "est" ou "doit être" de l'injonction morale (...) ou de la performance. Elle peut s'ouvrir au "peut être" ou au "pourrait être".

Écrit par : Line Clément | samedi, 06 mars 2010

Merci Line pour cette appréciation que je m'efforcerai de méditer.

Écrit par : kl loth | dimanche, 07 mars 2010

"faire de l'humour sur ce sujet bateau "
(nenette)

com/com: effectivement, les chaussures sont aussi nommées "bateaux".

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 07 mars 2010

A poil Pinturault!

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 07 mars 2010

Qu'est-ce que c'est que ce cri de guerre ??? Madeleine ? est elle un archétype ? @ MJ ai pensé à vous en regardant l'émission Ecoute Israël ce matin, réflexions sur la bouche, la parole et le silence, les lettres hébraiques, et bien sur Talmud et Torah.

Écrit par : Nénette | dimanche, 07 mars 2010

euh...pardon, ça m'échappé. Le cri du pinceau prêt à plonger dans le pot , à s'étaler en traces garance sur la toile, je présume.

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 07 mars 2010

Un jour peut être, je m'enduirai le corps de rouge et jouerai au pinceau humain, en hommage à Yves Klein !

http://www.centrepompidou.fr/education/ressources/ENS-yves_klein/ENS-Yves_Klein.htm

Écrit par : garance | dimanche, 07 mars 2010

"Qu'est-ce que c'est que ce cri de guerre ??? Madeleine ? est elle un archétype ?" (Nénette)

Nénette ! Vous confondez Marcelle Pinturault et Madeleine Lacroix.
Et peut être aussi "archétype" et "avatar"…
Les "avatars" sont des personnages fictifs qui interviennent sur la toile.
Derrière les pseudonymes il y a des personnes qui s'expriment en "leur nom", et d'autres (parfois les mêmes) qui inventent des fictions.
Il se peut qu'il y ait des avatars sur ce blog, mais les désigner n'est pas mon rôle (hormis de veiller à ce que le jeu ne porte préjudice à personne). Motus et bouche cousue.

Écrit par : kl loth | dimanche, 07 mars 2010

"Mais non, MJ, on ne peut pas tout dire à des ados en classe. Je ne suis pas d'accord avec votre analyse. D'abord, parce que le sujet sexualité les trouble" (Nénette)

D'après mon expérience (désastreuse), les ados savent fort bien jouer des allusions sexuelles pour mettre un enseignant en difficulté, qu'il s'agisse de le coincer par rapport aux tabous de l'école, ou de mettre en cause sa vie privée… Processus de mobbing, apparentés au harcèlement.

Écrit par : kl loth | dimanche, 07 mars 2010

Non, non, si j'ai confondu Marcelle Pinturault et Madeleine Lacroix (mea culpa), je ne confonds pas archétype et avatar. Bitte, weiter dutzen...
Oh oui, le harcèlement, ça peut exister. Mais je ne pense pas utile comme adulte, de pousser le bouchon trop loin (pétanque !) et de tendre la perche sur ce terrain. Les adolescents sont plus fragiles qu'on pense et souvent très sensibles (cf le complexe du homard expliqué par Françoise Dolto) donc, si possible réserve et prudence sur ces thèmes.

Écrit par : Nénette | dimanche, 07 mars 2010

Un jour peut être, je m'enduirai le corps de rouge et jouerai au pinceau humain," (com de garance)

com/com: c'est menstrueux!

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 07 mars 2010

S'il faut prendre tout ce que je dis au pied de la lettre, point n'est besoin de l'appliquer IRL. D'ailleurs, il me semble que le rôle de l'adulte est plus de poser des frontières structurantes permettant au jeune de les affronter que de repousser les limites. Mon intervention qui visait qu'à objectiver la phonétique de la god(e)-ass.

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 07 mars 2010

"de pousser le bouchon trop loin (pétanque !)"
com de Nénette

com/com: j'ai toujours pensé que le "pousser du bouchon" consistait à ouvrir les bouteilles de vin en poussant le bouchon plutôt qu'en le tirant, ce qui arrive parfois quand le bouchon ou le tire-bouchon sont défectueux.

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 07 mars 2010

com/com/com: Il y a de la fuite dans les idées dans le passage de la chaussure à la pétanque, ce dernier mot signifiant (de mémoire) "pied-tanqué", c'est à dire "pied fixe", au contraire de la boule lyonnaise qui se joue en prenant de l'élan (crois-je, pas spécialiste).

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 07 mars 2010

MJ vous avez des commentaires si futés et pleins d'humour qu'on se laisse prendre au jeu :-)) Que veut dire IRL ?

Écrit par : Nénette | dimanche, 07 mars 2010

IRL veut dire "In Real Life", c'est à dire dans la vie réelle.

Autres acronymes répandus sur le web :
LOL = "Laughing Out Loud" et son équivalent français MDR, c'est à dire "Mort de rire".

et IMHO, "In My Humble Opinion" (à mon humble avis).

Écrit par : kl loth | dimanche, 07 mars 2010

ex: mais que fait mon ORL IRL?
IMHO, il est MDR!
LOL!
Enfin,que chacun se DMRD et fasse preuve de son FIK6T!

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 07 mars 2010

Pieds nus sur la neige sacrée, passant par là je fais un signe admiratif. Toutes mes félicitations à Kl-Loth !

Quand on sait qu'il n'y a que le premier pas qui compte...
(le 5em pas à gauche en partant du haut c'est le mien !) et comme disait le François Bayrou dans la télé en 2007
"ce n'est pas le chemin qui est difficile, c'est le difficile ...etc.."
Après évidemment, faut se dire aussi que tout ça
tombe pas du ciel !

Écrit par : Madeleine Lacroix | lundi, 08 mars 2010

Je souhaite à Madeleine et à Marcelle une très heureuse fête en cette journée internationale de la femme !

Écrit par : Nénette | lundi, 08 mars 2010

"Pieds nus sur la neige sacrée,..."
(com de Madeleine Lacroix)

com/com: qu'importe le flocon pourvu qu'on soit livresque!

Écrit par : michel jeannès | lundi, 08 mars 2010

@michel jeannès :Ouh ben ! je confirme, Livresques corps et âme ! au diable le flocon !

@ Nénette : Merci ! C'est gentil à vous mais la Marcelle et moi, on profite de la journée de la femme pour aller faire le ménage au Riri. La Marcelle à la serpillière, et pis moi je fais les vitres. Pis on aime ça ! vinzou ! on n'y renoncerait pour rien au monde !

Écrit par : Madeleine Lacroix | mercredi, 10 mars 2010

Dame, c'est-y-que j'en prends soin de ces deux bonnes femmes là! ah la Marcelle, quand elle passe la serpillère, elle a de ces mouvements du train! Et la Mado, en équilibre sur l'escabeau, avec la blouse qui moule les formes, grande allure qu'elle a!

Écrit par : Riri | mercredi, 10 mars 2010

Quand je vais faire les vitres du Riri, et que je vois comme il est content, je me sens revivre !

Écrit par : Madeleine Lacroix | mercredi, 10 mars 2010

C'est que Mesdames Lacroix et Pinturault, ça n'adhère pas à Ni Pull Ni Soutif!

Écrit par : Riri | mercredi, 10 mars 2010

Ca n'adhère de rien ! l'important que ce soille en blouse ou en robe chasuble, c'est de frotter comme il faut les affaires du Riri.

Écrit par : Madeleine Lacroix | jeudi, 11 mars 2010

C'est qu'il est bien benèze le Riri quand elles sont toutes à son affaire pour le faire reluire comme un sou neuf!

Écrit par : Riri | jeudi, 11 mars 2010

Frotter quoi ?
Allais-je dire…

Écrit par : garance | jeudi, 11 mars 2010

Dame! c'est-y qu'elles ont la frotte épique!

Écrit par : Riri | jeudi, 11 mars 2010

Ca ne s'apprend pas, c'est sans manières !
nous avons la frotte typique.

Écrit par : Madeleine Lacroix | samedi, 13 mars 2010

C'est-y qu'y fait pas toujours bon s'y frotter non plus quand c'est occupé à faire reluire de fond en comble.
C'est y parfois un coup à se faire épousseter d'un "Ouste! du balais!" Fière allure, mais un tantinet Amazone, la Madeleine et la Marcelle!

Écrit par : Riri | samedi, 13 mars 2010

à poil Pinturault!

Écrit par : Michel Jeannès | samedi, 13 mars 2010

Là, je ne m'y serais point risqué! C'est que pendant le ménage, y'a point de ces trucs-là à dire!

Écrit par : Riri | samedi, 13 mars 2010

À poil les artistes !

Écrit par : kl loth | samedi, 13 mars 2010

Grand ménage de printemps.

Écrit par : Nénette | samedi, 13 mars 2010

Voui, on fait le ménage à trois!

Écrit par : Riri | samedi, 13 mars 2010

Plus on est de fous, plus on rit (rit)…

Écrit par : garance | lundi, 15 mars 2010

A poil Pinturault ! Melle Lacroix portera la culotte.
Amazones érogènes nous voilà !
Venez Garance ! Nénette, kl Loth ! plus on est de fous
plus le Riri rit !

Écrit par : Melle Manchon | mercredi, 17 mars 2010

Plus elles sont de foufounes, plus Riri rit!

Écrit par : michel jeannès | jeudi, 18 mars 2010

Bon, qu'on m'explique !
Elles font le ménage ? ou elles foufounent rien, ces dames ?

Écrit par : kl loth | jeudi, 18 mars 2010

Les commentaires sont fermés.