samedi, 25 septembre 2010
on s'y perd (Hozan Kebo)
"DAILY LIFE devient un souk très désoriental : les coms de coms pré-succèdent aux commentaires, les billets sont blancs, les blancs ne sont pas tous french et les frenchies pas tous blancs ! mais où va t on ?" (Hozan Kebo)
"(mais qu'est ce que les cônes me manquent ! vraie addiction ! dur de s'en passer !)" (Hozan Kebo)
23:18 Écrit par kl loth dans ping-pong | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : hozan kebo |
Commentaires
Un blog live
Écrit par : Nénette | samedi, 25 septembre 2010
I hope so !
I do my best.
Écrit par : kl loth | dimanche, 26 septembre 2010
Ce matin, vu dans le Progrès une photo de la fontaine des Jacobins bizuthée par des étudiants qui ont coiffé les nobles patriciens (imprimeurs ?) de cônes... j'en suis quasi obsédée maintenant, de ces cônes, dès que j'en vois un, ça me hante !!!
Écrit par : Nénette | dimanche, 26 septembre 2010
marge ou crève ?
ou bien
marche (et fais) grève ?
Écrit par : hozan kebo | dimanche, 26 septembre 2010
marche (et fais) grève ?
com/com: charme et verge (anagrammes)
Écrit par : le groom sodomite | dimanche, 26 septembre 2010
j'en suis quasi obsédée maintenant, de ces cônes, dès que j'en vois un, ça me hante !!!
com de Nénette
com/com: ceci prouve l'efficacité du travail de KL-Loth qui a rechargé en art le cône de chantier. Réenchantier le monde, en somme! Quant à la hante-tease, je propose la formule "ça me com.hante".
Écrit par : michel jeannès | dimanche, 26 septembre 2010
"marche (et fais) grève ?
com/com: charme et verge (anagrammes)" (le groom sodomite)
On n'oubliera pas le goût luxembourgeois pour les érections… euh, les formes érigées. À moins que cela ne soit qu'une déformation par mon regard…
Relire ce que j'écrivais ici : http://tinyurl.com/2fftcf9
"Mais ce qui me semble frappant […], c'est la "prévalence" des lignes verticales, des formes érigées. Sans que je puisse fournir d'hypothèse à ce sujet."
Écrit par : kl loth | dimanche, 26 septembre 2010
"Mais ce qui me semble frappant […], c'est la "prévalence" des lignes verticales, des formes érigées. Sans que je puisse fournir d'hypothèse à ce sujet."
com/com: je dirais plutôt "sans que je puisse fourbir d'hypothèses à ce sujet". Le sujet étant, par définition, l'obscur objet du désir qui impulse les mouvement à mon ascenseur sans censure.
Écrit par : le groom sodomite | dimanche, 26 septembre 2010
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