lundi, 18 avril 2011
Reconnecter…
Cette fois-ci le train 4266 avait 40 minutes de retard en raison d'une panne de la motrice. Pour mémoire, la dernière fois, le retard était de 80 minutes, dû à une erreur d'aiguillage.
Retrouver les grands espaces de la ville coutumière. Ne plus se sentir étouffer.
Apprécier la douceur nocturne aux environs de minuit.
Bruit "sonore" (comprendre "prononcé") des roulettes de la valise le long de la rue qui mène de la station de tramway au domicile.
Rallumer le chauffe-eau, reconnecter les fils électriques débranchés, téléphone, box etc.
Arroser les plantes à la terre si sèche…
Home enfin !
00:54 Écrit par kl loth dans Quatsch | Lien permanent | Commentaires (9) |
Commentaires
C'est chouette, un peu d'imprévu. Ne plus savoir à quelle heure un train arrive. ça rappelle l'Afrique, ou même l'Italie.En somme ça dépayse!
Écrit par : michel jeannes | lundi, 18 avril 2011
Tu vas donc être indemnisée avec des bons voyages qui te permettront de reprendre du retard!
Écrit par : michel jeannes | lundi, 18 avril 2011
Cette fois-ci, l'annonce de cette possibilité de "compensation" n'a pas été faite dans le train.
(une fois encore, ceux des voyageurs qui auraient dû poursuivre par certaines correspondances, n'ont eu d'autre alternative qu'un hébergement en hôtel, dans l'attente des trains du lendemain).
Écrit par : kl loth | lundi, 18 avril 2011
question : et si absolument tous les trains avaient 40 minutes de retard ? personne ne raterait ses "correspondances" ?
mais quelle heure "exacte" serait-il ?
Écrit par : hozan kebo | lundi, 18 avril 2011
Mon professeur de "couleur" aux Beaux-Arts, Christian Fouquet, parlait d'un artiste qui avait retiré les aiguilles de sa montre, et inscrit à la place : "Il est toujours plus tard que tu ne le penses".
Écrit par : kl loth | lundi, 18 avril 2011
un prof de (bonne) philo aurait conseillé : "c'est toujours pas l'heure , reste au pieu et rêve encore !"
Écrit par : hozan kebo | lundi, 18 avril 2011
y'a pas à dire, il cultive la plume et le page ce Kébo! De LITtératture, il gomme les ratures. Tiens je lui dédie un poème à la manière de madame Gertrude Pierre, et en anglais siouplé!:
a bed is a bed is a bed is a bed is a bed
(les insomniaques et autres badimistes pourront toujours pear-siffler "a bad is a bad is a bad...."
Écrit par : michel jeannes | lundi, 18 avril 2011
"De LITtératture, il gomme les ratures. "
ce redoublement du t fait sinon rature, pour le moins tache! Ce n'est plus là rature mais tutti frutti et qui s'y froutille s'y émoustille (dans le lit de la )
Écrit par : le coquillologue | lundi, 18 avril 2011
"dans le lit de la"
c'est beau ça !
on dirait le refrain d'une chanson d'une chanteuse italo- française sans voix : "danlelidela danlelidela"
un truc à vous endormir un insomniaque en deux minutes sarko.. euh ... chrono ...
Écrit par : hozan kebo | lundi, 18 avril 2011
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