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lundi, 05 janvier 2009

Se prendre en main…

Carrément !

stencil-nito.jpg
(vu le 29/12/08 cours Vitton, Lyon 6e)

stencil de NITO,
photo © kl loth 2009

14:53 Écrit par kl loth dans comportements…, de visu, street art | Lien permanent | Commentaires (33) | Tags : stencil, pochoir, streetart, street art, masturbation |

Commentaires

("vu le 29/12/08 cours Vitton, Lyon 6e)"

Cours Vitton vite vue le vit dit-on. Il y a de l'éjac in situ à la tâche , si je puis me spermettre d'ainsi fortmuler la chose.
Mais de couilles point? une branlette pur jus ex nihilo strange le sex des éponymes.

Écrit par : michel jeannès | lundi, 05 janvier 2009

je remarque 4 gouttes de sperme, qui font écho graphique aux 4 lettres de "NITO". Il y a du mythe, quasi du relie-jeu (de main ) dans cette branlette métaphysique où je me pense. NITO s'anagrammise en OINT; de là à penser que ces 4 gouttes sémantiques sont du pur esprit descendant sur les têtes de noeud, il n'y a pas l'oint.
En fait, NITO doit se prénommer Antoine (dit Tony, Tonio). Je rappelle que l'ergotisme , c'est à dire l'intox à l'ergot de seigle, dont l'exemple le plus exemplaire ,a eu lieu à Pont Saint Esprit -je n'invente rien - était appelé le feu de saint Antoine.
Bref, Tonio, il a une forme du feu de Dieu.
Et la tête de pine peut être aussi lue là comme avatar de la couronne d'épine.

in ejaculatio precoex (en latin de cousine)
ite missa est

Écrit par : michel jeannès | lundi, 05 janvier 2009

Ils sont refoulés dans le sixième et se défoulent sur les murs...
C'est bien le 6ème ?

Écrit par : Rosa | lundi, 05 janvier 2009

Je ne dédaigne pas le sixième arrondissement, loin de là…

Écrit par : kl loth | mercredi, 07 janvier 2009

C'est le sixième sens!
Y'a pas de raison que les habitants du 6emes soient plus refoulés que les autres. Ils ont même plus les moyens de jouer à Catherine Millet dans des appartements chauffés. Pas facile d'organiser des tournantes dans les caves d'immeubles, pour rester dans les lieux communs. (ce commentaire a été signalé au modérateur).

Écrit par : michel jeannès | mercredi, 07 janvier 2009

"Je ne dédaigne pas le sixième arrondissement, loin de là…"

com/com: jamais insinué que KL-Loth se plaisait à entonner le chant des partouzans dans le sixième.

Écrit par : michel jeannès | mercredi, 07 janvier 2009

""Je ne dédaigne pas le sixième arrondissement, loin de là…"

com/com: jamais insinué que KL-Loth se plaisait à entonner le chant des partouzans dans le sixième."

com/com : ce commentaire faisait suite à celui de Rosa !

Écrit par : kl loth | mercredi, 07 janvier 2009

"com/com : ce commentaire faisait suite à celui de Rosa !"

com/com/com/com: la suite /com/ la fuite est dans les idées.

Écrit par : michel jeannès | mercredi, 07 janvier 2009

L'éjaculation, du strict point de vue de la problématique du regard, pourrait d'ailleurs être apparentée à l'expression "on (n')y voit goutte" signifiant que l'on n'y voit rien. Si quelqu'un peut éclairer la lanterne de la comprenote sur cette dernière expression choisie, que bien venu il soit!

en espagnol (du moins en argot argentin, je ne sais pour l'espagne), éjaculer se dit "échar un polvo", mot à mot "jeter une poudre", soit sémantiquement assez proche de notre expression "jeter de la poudre aux yeux" pour "faire illusion".

L'éjaculation comme apparition, fumée fugace du plaisir, éléction/érection papale, etc...

Écrit par : michel jeannès | mercredi, 07 janvier 2009

érections: pièges à cons!

Écrit par : michel jeannès | mercredi, 07 janvier 2009

finalement, on pourrait scander: "Eh Toni, t'as vu la Vierge!"

http://kl-loth-dailylife.hautetfort.com/archive/2008/12/31/republique-mediatique.html

Écrit par : michel jeannès | mercredi, 07 janvier 2009

Eh Toni, tavulaverve?

Écrit par : michel jeannès | mercredi, 07 janvier 2009

après c'est pendant!

Écrit par : michel jeannès | mercredi, 07 janvier 2009

pendant c'est bandant (accès de verticalopalindromie).

Écrit par : michel jeannès | mercredi, 07 janvier 2009

Etrange apparition sur le mur.

Écrit par : unevilleunpoeme | mercredi, 07 janvier 2009

Cette image me semble particulièrement violente. Car le sexe y est présenté comme une grenade prête à exploser.
Il s'agit là d'une apologie du sexe comme source de viol, de tuerie et non comme l'enseigne l'évangile comme une source de vie.

Écrit par : L'abbé Aimé Narcisse | jeudi, 08 janvier 2009

"le sexe y est présenté comme une grenade prête à exploser."

com/com: comme une gonade prête à sexploser.

Chef, j'ai avalé la goupille! ça va péter....

Écrit par : michel jeannès | jeudi, 08 janvier 2009

"et non comme l'enseigne l'évangile comme une source de vie."

com/com: il faut mettre un therme à ces zéjacques!

Écrit par : michel jeannès | jeudi, 08 janvier 2009

Faut pas exagérer tout de même, le gonze il se besogne tout seul et sait bien que ça va lui péter à la gueule. A mon avis c'est un kamikaze qui fonce dans le sixième arrondissement en se disant "je vais arroser des bourgeois zet bourgeoises. En fait ce dessin , in situ, est une ode aux bourre-joie, voir à labour-joie, c'est à dire à la besogne. Tiens, c'est peut-être une incitation du Ministère du travail ou de la relance à juguler la crise!

Écrit par : michel jeannès | jeudi, 08 janvier 2009

On storture pas un peu les méninges là ? ce n'est qu'un pauv tag. Ceux des empègues du Midi sont pluss chouettes. J'en mettrai sur mon blogue. Enfin, l'image du sexe émoustille toujours...

Écrit par : Nénette | jeudi, 08 janvier 2009

"On storture pas un peu les méninges là ? "

com/com: c'est pas les méninges, c'est les roubignoles! Vé le grand comme il transpire, on dirait un cerveau té! ça pour empéguer il empègue, et il produit lui-même sa colle, vé!

Écrit par : michel jeannès | jeudi, 08 janvier 2009

Tu vas rire mais... euh comment dire, à première lecture j'avais vu tout autre chose , que du très sage...(Oui, je dois avoir l'esprit un peu déplacé ;-))
D'où hier soir mes échos modérés, soft, discrets (si j'avais su,
vu ...) Maintenant ça va bien, je me suis recadrée sur l'image, je comprends tout. Fallait le dénicher celui là, bravo!
ps:
Vu le nombre de commentaires, c'est un créneau hénaurme. Graffeurs, à vos murs!

Écrit par : Frasby | jeudi, 08 janvier 2009

C'est vrai, j'ai photographié ce graff très vite dans la nuit hivernale. Bien que je ne pense qu'à "ça", à première vue cela me semblait être un chien, un très gros museau surmonté de deux yeux et avec deux oreilles !
Et en regardant attentivement l'image… surprise !

Écrit par : kl loth | jeudi, 08 janvier 2009

À propos du commentaire de L'abbé Aimé Narcisse (sic) :
La question des rapports entre sexualité et religion (surtout catholique) est polémique, épineuse. Elle m'est douloureuse car la religion a gâché une partie de ma vie.
Cela nécessiterait de ma part une réponse argumentée, soigneusement préparée.
J'ai déjà eu affaire à des commentaires problématiques dont les réponses m'ont pris jusqu'à plusieurs heures de réflexion et de rédaction. C'est le cas par exemple lorsqu'il s'agit d'une intervention d'extrême-droite, ou de mise en cause de l'art contemporain, choses que je ne peux évidemment pas laisser passer.
Or ce commentaire - je le dévoile - est l'intervention d'un "avatar" d'une personne que je connais et cette fois-ci je ne jouerai pas le jeu.
J'ai comme beaucoup d'autres personnes mon lot de problèmes personnels, particulièrement lourds en ce moment. Je ne peux pas gaspiller mon énergie pour des blagues d'avatars. Merci d'être compréhensif, en l'occurrence compréhensive.

Brièvement, je renverrai aux travaux de Michel Onfray, qui a remarquablement traité des rapports entre sexualité et religion.

Quant à la masturbation, je n'en fais pas l'éloge, je préfère la rencontre avec l'autre, avec les autres… Mais cette image dit beaucoup de notre époque, où l'on prône la vie en "solo" et où règne la misère sexuelle.

Écrit par : kl loth | vendredi, 09 janvier 2009

à bas l'avatar qui fait un art si (sic)!

Écrit par : michel jeannès | vendredi, 09 janvier 2009

"Quant à la masturbation, je n'en fais pas l'éloge"...



com/com: c'est pas parce qu'on voit un gros plan sur une main qui tient une bite qu'il s'agit de masturbation! Peut-être s'agit-il d'enrayer le flux?

Au fait, quand j'y suis, a mass-turbation serait-elle la manipulation cathodique des masses?

Écrit par : michel jeannès | vendredi, 09 janvier 2009

alors que je mets un liien depuis le site de la Mercerie vers le billet relatif à l'exposition "Marianne mise à nu" (billet du 3 mars 08), je prends conscience du rapport entre le streap-tease de Marianne et la bannière de Nito qui vise au nid soit dit en mâle qui y pense. En espagnol, drapeau se dit "la bandera".
Bandera ou pas, quand ça se déploie ça s'y emploie!

Écrit par : michel jeannès | vendredi, 09 janvier 2009

Mais oui ! j'avais vu au départ, une sorte d'animal avec un museau bizarre , puis je suis passée direct à la suite
(je ris toute seule en repensant au quiproquo de notre conversation au café, où je n'avais pas encore imprimé la vraie image et sa toute simple signification, parce qu'en fait quand tu as fait allusion à la pornographie de cette image, j'avais un peu du mal à suivre, peut être l'as tu remarqué d'ailleurs ... ;-)
Maintenant ça va, je suis dans le bon wagon ;-)

Écrit par : Frasby | samedi, 10 janvier 2009

j'avais vu au départ, une sorte d'animal avec un museau bizarre , puis je suis passée direct à la suite (...)
Maintenant ça va, je suis dans le bon wagon ;-)

com/com: saisissant raccourci de la prise en main.
ça me rappelle un titre de film série X (jamais vu d'ailleurs, le titre suffit) : "l'arrière-train sifflera trois fois."

(certainement un film de Conio Maricone)

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 11 janvier 2009

"l'arrière-train sifflera trois fois."

dans la même série "Blanche-fesse et les sept mains " m'amusait beaucoup,

ainsi que "Trois zobs et un cul fin"

c'est que c'est sport nacional, le calemour (oublié le b, un tapsus de plus. Le calamour est au calembour ce que l'amouir est au jouïr.

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 11 janvier 2009

Maricone: sustantivo habitualmente de carácter peyorativo, originalmente aumentativo de Marica (a su vez diminutivo de María). Marica se usa como insulto grosero con los significados de hombre homosexual; hombre afeminado (que no significa homosexual, son términos relacionados pero no iguales), además de hombre de poco ánimo y esfuerzo.

fuente: wikipedia

http://es.wikipedia.org/wiki/Maric%C3%B3n

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 11 janvier 2009

"originalmente aumentativo de Marica (a su vez diminutivo de María)"

com/com: originalement augmentatif de Marica, diminutif de Maria.

d'où l'expression: "Eh Maricon, t'as vu la Vierge?!"

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 11 janvier 2009

"d'où l'expression: "Eh Maricon, t'as vu la Vierge?!""

com/com: je voulais dire "t'as vu la verge!", le i se tenant droit comme une apparition digne de ce nom.

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 11 janvier 2009

Les commentaires sont fermés.