mercredi, 13 mai 2009
Le jardin à Montigny-Lès-Metz (28 avril 2009)
(28/04/09)
La glycine, qui a au moins un demi-siècle, est en fleurs ! Difficile de la photographier en entier, car le jardin étant petit je manque de recul…
Le muguet a envahi plusieurs mètres carrés
L'hellébore (helleborus niger) plantée le mois dernier sous le mirabellier a adopté son nouvel emplacement, sans aucun regret pour son pot et le balcon de Villeurbanne.
Je continue les plantations avec des sedums spectabile dont j'aime le nom : "Herbstfreude", la joie de l'automne… Je rajouterai encore un plant de sedum "Fuldaglut" (Braise de la Fulda), des plants d'heuchères pourpres qui s'étaient resemés spontanément sur le balcon, et des roses trémières (avec l'approbation des voisins qui profiteront de les voir dépasser du muret mitoyen)…
Il a fallu passer beaucoup de temps à extraire les racines des herbes folles qui envahissent le terrain laissé plus ou moins à l'abandon.
À suivre…
12:17 Écrit par kl loth dans Metz encore, plantes & jardins | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : jardin, plantes, fleurs | 
Commentaires
J'adore l'Hellébore, j'en ai planté également mais c'est une plante capricieuse. Cette année elle n'a pas daigné fleurir pour Noël et a attendu février !
Écrit par : Rosa | mercredi, 13 mai 2009
Écrit par : Nénette | jeudi, 14 mai 2009
Ce serait présomptueux.
Je m'intéresse à l'art des jardins. Et j'ai fait aussi partie plusieurs années d'un jardin partagé, le "Vert Luizet", et de l'association qui l'a créé, le Passe Jardins :
http://jardinons.com/
Je publie de temps en temps des billets sur les jardins que je visite, ainsi que sur mes expériences… : cf. la rubrique "plantes et jardins".
J'ai deux pots d'hellébores sur mon balcon, une blanche et une colorée (prétendument "Blue Lady"), elles n'ont jamais fleuri pour Noël, mais toujours en février).
Pour ce qui est de désherber, le sol est trop dur pour une grelinette, j'utilise une griffe. Ce qui est long, c'est surtout de récupérer la terre qui est retenue par le réseau dense des racines des indésirables.
Écrit par : kl loth | jeudi, 14 mai 2009
Écrit par : Nénette | jeudi, 14 mai 2009
Écrit par : Rosa | vendredi, 15 mai 2009
1893). Position éloignée (dans l'espace ou dans le temps) permettant une vision ou une appréciation meilleure. è Éloignement, reculée (vx). | Objets qu'on ne distingue plus tard qu'avec le recul (→ Papillotement, cit. 2). | Recul nécessaire à l'historien (cit. 4), permettant de goûter certaines particularités (cit. 4).
¨ a Fig. Avoir, prendre du recul : se détacher par l'esprit d'une situation (personnelle ou non), pour en juger plus objectivement. è Distanciation.
5 Mes vices, mes vertus, j'ai le nez dessus, je ne puis les voir, ni prendre assez de recul pour me considérer d'ensemble.
Sartre, le Sursis, p. 318.
6 Il doit prendre un peu de recul, il la voit de trop près, il la voit de trop près, il doit se mettre à une certaine distance pour retrouver — il l'avait perdu — le sens de la réalité, des justes proportions (…)
N. Sarraute, le Planétarium, p. 298.
ne pas avoir de "recul" par rapport à une glycine centenaire
ce n'est pas "perdre le sens des réalités" bien au contraire !
Écrit par : hozan kebo | vendredi, 15 mai 2009
(on pourrait aussi parler d'éconogie pour les économies d'énergie (?))
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 15 mai 2009
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