samedi, 06 mars 2010
Double peine…
Avoir trop peu de temps pour pouvoir voir des amis. Avoir la tristesse de devoir refuser des propositions de rendez-vous. Et… devoir endurer l'isolement !
16:01 Écrit par kl loth dans Quatsch | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : temps, empli du temps, solitude | 
Commentaires
Écrit par : Nénette | samedi, 06 mars 2010
"Comme il semble dur de rester célibataire et (...) de demander accueil aux autres quand on veut passer une soirée en compagnie; (...)de dire au revoir devant la porte des maisons; de n'être jamais à même de grimper l'escalier aux côtés de sa femme; d'être malade et de n'avoir pour consolation que ce qu'on aperçoit de la fenêtre quand on peut s'asseoir sur le lit; de n'avoir dans sa chambre que des portes de communication s'ouvrant sur les appartements des autres; de se sentir étranger aux membres de sa famille (...) d'être obligé d'admirer les enfants des autres sans avoir le droit de répéter sans cesse : je n'en ai pas; d'éprouver un sentiment immuable de son âge parce qu'on a pas de famille avec qui se développer;" extrait du journal de F Kafka mardi 14 novembre 1911
21 juillet 1913
"(...)Je suis incapable de supporter seul les assauts de ma propre vie, les exigences de ma propre personne, l'offensive du temps et de l'âge (...)
"Il me faut beaucoup de solitude. Ce que j'ai accompli n'est qu'un succès de la solitude." toujours journal Kafka
Je sais que je n'ai fait que donner un écho lointain à cette double peine, il manque la pression du temps que l'on a pas.
Écrit par : Line Clément | samedi, 06 mars 2010
Deutsch schreiben ist viel schwerer als Deutsch sprechen, als mann alle Fehler bemerken kann.
I hasse ledig zu sein. Ich bin dafür nicht eingestellt, obwohl ich bin jetz gewöhnt allein zu leben.
Freundshaft ist 'was verschiedenen. Freundschaft braucht viel Energie und Zeit. Und Freundschaft allein genügt nicht.
Ruhig sein ?
Sich wohl mit Leute finden ist auch abhängig von Leute. Was die Englischen nennen "soulmates"…
Selbstverständlich gibt es auch Leute die stören… zum beispiel swatzen zu viel (der weiblichen unendlichen Quatsch !)
(écrit avec les mots qui me viennent à l'esprit, sans vérifier dans le dictionnaire… quant aux déclinaisons… j'ai jamais appris !)
Écrit par : kl loth | dimanche, 07 mars 2010
À deux réserves près cependant :
- les kids m'indiffèrent ! Et heureusement qu'il y a Élizabeth Badinter pour expliquer cela.
- et mon travail n'est pas un travail de la solitude, d'une part intrinsèquement par son thème, mais aussi par sa méthode.
Et lorsque je peux travailler dans un lieu public, c'est très stimulant. Cafés, rues, jardins publics… Aller à Paris m'inspire tout particulièrement, le centre Pompidou… et même le métro.
Mais il existe aussi des gens toxiques qui vous figent l'esprit (le problème pour moi à Metz).
Écrit par : kl loth | dimanche, 07 mars 2010
Écrit par : michel jeannès | dimanche, 07 mars 2010
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