jeudi, 27 janvier 2011
À LA VIE À L'AMOR (Miss.Tic à Arles)
Miss.Tic n'est probablement plus à présenter… Elle appose des pochoirs facétieux sur les murs depuis le milieu des années 80, se mettant en scène dans des saynètes d'inspiration autobiographiques, accompagnées de phrases à la fois lapidaires, profondes et ludiques.
Arrêtée et soumise à une lourde amende, elle solliciterait désormais les autorisations nécessaires, que sa notoriété et la qualité de ses interventions lui permettent d'obtenir.
L'été dernier (2010), en marge d'une exposition à la galerie Arlatino, elle est intervenue sur les murs de la ville d'Arles, sur le thème qui lui est familier des relations amoureuses, avec un petit clin d'œil à la tauromachie…
Pochoirs de Miss.Tic
photographiés par kl loth
11:29 Écrit par kl loth dans love, rôle et place de l'art, street art | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : art, street art, streetart, miss.tic, amour, mort, vie, pochoir, stencil, arles |
Commentaires
com/post: quand tout s'évente!
Écrit par : michel jeannès | jeudi, 27 janvier 2011
Écrit par : Nénette | vendredi, 28 janvier 2011
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 28 janvier 2011
Écrit par : rechabre | lundi, 16 janvier 2012
Écrit par : rechabre | lundi, 16 janvier 2012
Et j'y ai aussi découvert M.uss Tic !
http://kl-loth-dailylife.hautetfort.com/archive/2011/08/23/m-uss-tic.html
Écrit par : kl loth | lundi, 16 janvier 2012
Écrit par : rechabre | lundi, 16 janvier 2012
En raison peut être de la proximité de la Camargue…
Quand à M.uss Tic, comme beaucoup de graffeurs, ne serait-ce que pour ne pas être condamnés par la loi, mystère !
Miss.Tic a eu elle-même des ennuis avec la justice. Ses œuvres sont désormais réalisées après demande d'autorisation.
Écrit par : kl loth | lundi, 16 janvier 2012
com/com: lamentable! C'est comme si un braqueur se refaisait une banque en demandant l'autorisation. Et c'est pire si on la lui donne. Miss Tic devrait tout simplement disparaître de l'espace public et commencer l'oeuvre-macramé à la maison de retraite.
Écrit par : michel jeannes | lundi, 16 janvier 2012
Écrit par : kl loth | lundi, 16 janvier 2012
Écrit par : michel jeannes | lundi, 16 janvier 2012
Écrit par : michel jeannes | lundi, 16 janvier 2012
com / com : Ouais ouais…
Les artistes, les vrais du moins… vivent de l'air qu'ils respirent, sont habillés par les fils que tissent les araignées… et quand ils sont trop fatigués pour pouvoir continuer à travailler, des anges viennent les chercher pour les emporter au paradis, et leur éviter tout besoin de points-retraite…
Écrit par : kl loth | lundi, 16 janvier 2012
À moins bien sûr d'un grave handicap.
Écrit par : kl loth | lundi, 16 janvier 2012
Écrit par : kl loth | lundi, 16 janvier 2012
Écrit par : michel jeannes | lundi, 16 janvier 2012
Écrit par : kl loth | mardi, 17 janvier 2012
Certainement Percevable le gars-loi!
Écrit par : le coquillologue | mercredi, 18 janvier 2012
Ouf ! J'ai eu peur d'avoir succombé moi-même à un moment de "bravitude" !
Écrit par : kl loth | mercredi, 18 janvier 2012
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