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lundi, 02 décembre 2013

Cœur-bite !

Photographiant les "cœurs" depuis plusieurs années maintenant, je découvre un nouveau type de graffiti !
Voilà une synthèse de l'amour et du sexe parfaitement affirmée.

(Vu aujourd'hui en haut de la Montée de la Grande-Côte, Lyon 1er)

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22:26 Écrit par kl loth dans de visu, love | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cœur, graffiti, amour, sexe, graff, bite |

dimanche, 10 novembre 2013

Un savoir qui ne se perd jamais (Peter Handke)

"L'amour est un savoir qui ne se perd jamais : et je dis et j'écris ces mots parce que je ne cesse de perdre mon savoir (prière pour un savoir amoureux)"

(Peter Handke, À ma fenêtre le matin. Carnets du rocher 1982-1987, traduit de l’allemand (Autriche) par Olivier Le Lay, Lagrasse, éd. Verdier, 2006, p. 445 ; 1ère éd. Am Felsfenster morgens (und andere Ortszeiten 1982-1987), Salzburg, Residenz Verlag, 1998)

16:57 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, love | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amour, perte, peter handke, handke, savoir, savoir amoureux |

dimanche, 27 octobre 2013

un, un seul (Peter Handke)

"Et si parmi mille couples il en est un, un seul, qui s'aime, alors ce n'est pas l'exception mais la règle : c'est lui qui donne la loi"

(Peter Handke, À ma fenêtre le matin. Carnets du rocher 1982-1987, traduit de l’allemand (Autriche) par Olivier Le Lay, Lagrasse, éd. Verdier, 2006, p. 387 ; 1ère éd. Am Felsfenster morgens (und andere Ortszeiten 1982-1987), Salzburg, Residenz Verlag, 1998)

18:55 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, love | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amour, couple, peter handke |

mercredi, 29 mai 2013

L'étude de l'amour (Eva Illouz)

"L'étude de l'amour n'est pas périphérique, mais bien centrale à l'étude du cœur et de la fondation de la modernité*.

* Il s'agit d'une perspective théorique et sociologique que partagent plusieurs autres sociologues comme Anthony Giddens, Ulrich Beck, Elisabeth Beck-Gersheim ou encore Zygmunt Bauman."

(Eva Illouz, Pourquoi l'amour fait mal. L'expérience amoureuse dans la modernité, Seuil, 2012, traduit de l'anglais par Philippe Joly, p. 22 ; 1ère éd. Warum Liebe weh tut. Eine soziologische Erklärung, Suhrkamp Verlag Berlin, 2011)
Remarque : l'éditon allemande serait antérieure à l'édition en anglais.

13:09 Écrit par kl loth dans au fil des lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amour, sociologie, modernité |

samedi, 02 février 2013

Car… aimant

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KL LOTH, "car… aimant", 2012
15 x 15 cm, tirage photo sur dibond, 3 exemplaires

Une œuvre réalisée à l'occasion de l'exposition "Carrément" à la galerie 4,Barbier à Nîmes (décembre 2012-janvier 2013).
http://www.kl-loth.com/FILES/affiche_Carrement_2012.pdf

Il s'agit d'un détail de la Fontaine Pradier, sur l'Esplanade Charles de Gaulle à Nîmes

22:37 Écrit par kl loth dans kl loth à l'œuvre, love | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : kl loth, œuvre, art contemporain, art, photographie, amour, affection |

jeudi, 13 septembre 2012

J'avais envie…

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J'AVAIS ENVIE
DE TE DIRE
I ♥ U

(vu à Lyon Croix-Rousse, rue Jacquard) 

20:15 Écrit par kl loth dans love, street art | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : love, amour, graff, graffiti, dire, affectif, sentiment, vie urbaine |

samedi, 18 août 2012

ICH…

ICH LIEBE DICH PERLITA

Un graff énigmatique sur le tablier d'un pont surplombant une voie rapide en Moselle, en direction du Luxembourg…

12:49 Écrit par kl loth dans love, street art | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : graff, graffiti, amour, déclaration, ich liebe dich, fraco-allemand |

lundi, 06 août 2012

Pour dire… (Lambert Schlechter)

"pour dire amour les chinois combinent deux idéogrammes qui signifient avaler et cœur,"

(Lambert Schlechter, Le Murmure du monde, Bordeaux, Le Castor Astral, 2006, p. 16)

Un auteur luxembourgeois à découvrir…

01:24 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, love | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : chinois, amour, idéogramme, avaler, cœur |

samedi, 16 juin 2012

street art or not sweet art or not ? (by Michel Jeannès)

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(découvert par Michel Jeannès)

Clicker sur la photo pour la voir en plus grand !

Remarque de Daily Life : Une superbe réalisation ! S'il s'agit bien d'un pochoir (un sticker ?), il semble avoir été réalisé par découpe au laser… dans une plaque de métal peut être ?

17:28 Écrit par kl loth dans de visu, love, ping-pong, street art | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : graff, graffiti, stencil, pochoir, cœur, coeur, maman, amour, mur, street art, streetart |

jeudi, 26 avril 2012

L'obsession amoureuse ?

"I think about you all the time…" and "il faut que je l'oublie" (I must forget him or her) are twin slideshows.

A person travels here and there by anytime, but cannot get rid of his (or her) obsession…


Une personne voyage par monts et par vaux et par tous les temps, mais ne peut se débarrasser de l'obsession amoureuse…

"Il faut que je l'oublie…" et "I think about you all the time…" sont deux slideshows jumeaux qui pourraient faire l'objet d'une projection côte à côte et simultanée dans le cadre d'une installation vidéo.

"il faut que je l'oublie…" from KL LOTH on Vimeo.

"I think about you all the time…" from KL LOTH on Vimeo.

Ces deux slideshows (diaporamas) ont été présentés sur écran d'ordinateur lors de mon exposition "LOVE / LOTH" à la galerie 379 à Nancy

© kl loth 2012

03:35 Écrit par kl loth dans kl loth à l'œuvre, love | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : kl loth, slideshow, vidéo, art, art contemporain, obsession, amour, rupture |

lundi, 05 mars 2012

Pensées flottantes…

Une personne visite un musée de Moulages et fantasmant sur les statues, laisse sa pensée vagabonder…

Une série de tirages photo sur dibond, 40 x 30 cm, réalisée à l'occasion de mon exposition à la galerie 379 à Nancy, les 25 et 26 février 2012.

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© kl loth 2012

Série "Pensées flottantes au musée des Moulages" (2011-2012) :

— S'attendre encore ?

— Ce qu'il y a entre nous…

— J'essayais de me mouler dans son désir…

— Au plus profond de soi…

— Ce qui reste…

— Une présence si troublante !

— Cette attirance…

dimanche, 05 février 2012

La belle histoire et l'individu (François de Singly)

"L'amour est une belle histoire, toujours écoutée car elle est la seule qui permet à l'individu de croire qu'il est reconnu à titre personnel. Narcisse meurt de n'être reconnu que par lui-même." (p. 46)

"Au mythe de l'amour qui a servi de support à la naissance de l'individu dans l'histoire occidentale succède en retour le règne de l'individu qui contribue à détruire la relation amoureuse." (p. 47)

(François de Singly, Séparée. Vivre l'expérience de la rupture, éd. Armand Colin, 2011)

Un livre intéressant qui permet de mieux comprendre ce qui est en jeu lors d'une rupture, et par l'écart éventuel avec le vécu personnel, de mieux se situer par rapport à cette expérience douleureuse douloureuse.

14:51 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, love | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : amour, individu, narcissisme, reconnaissance, histoire |

mardi, 17 janvier 2012

"[…] AUTANT QUE TU ME MANQUES"

Un amoureux éconduit (une amoureuse ?) parsème le parcours de l'ingrat(e) éventuel(le) de phrases poignantes réalisées à l'aide de pochoirs maladroits…

On ne connaît pas l'histoire… Pour l'autre personne concernée, c'est peut être juste du harcèlement !

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TU PASSES
ICI AUTANT
QUE TU
ME MANQUES

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TU ES
INCONJUGABLE
AU PASSÉ

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MON
COEUR
BATTAIT
SI FORT
C'ETAIT
L'ILE AU
TRESOR

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JE REVE
ENCORE DU
CREUX DE
TES BRAS 

photos © kl loth 2012

02:14 Écrit par kl loth dans comportements…, de visu, love, street art | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : graff, graffiti, pochoir, stencil, rue, trottoir, amour, harcèlement |

mardi, 13 décembre 2011

"L'amour c'est moche"…

"L'amour c'est moche"… mais oui, c'est dit comme cela, et c'est juché sur un placard électrique déglingué.
J'apprécie tout particulièrement la mention "DANGER / HAUTE TENSION"…
(vivre intensément, même si c'est moche ?) 

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auteur du paste up non connu

photographié et commenté par © kl loth 2011 

01:40 Écrit par kl loth dans comportements…, de visu, love, street art | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : amour, paste up, street art, streetart, ville, urbain |

lundi, 10 octobre 2011

Insensibles à la beauté du baiser… (Alexandre Lacroix)

"À mesure que nous devenons insensibles à la beauté du baiser, nous perdons un frein essentiel à la violence : oublieux de la caresse des bouches, nous ne voyons plus d'inconvénient à nous entre-dévorer. Le niveau de clairvoyance que nous avons atteint n'est peut être plus compatible avec la tendresse (car il faut s'illusionner sur son prochain pour avoir envie de le cajoler), mais seulement avec la pornographie. Si bien que la première idée qui traverse, de nos jours, l'esprit d'un personnage de roman, d'un héros de cinéma, ou même de n'importe quel mec qui se balade dans la rue, lorsqu'il voit une jolie fille, ce n'est pas « J'ai envie de l'embrasser » mais « J'aimerais bien me la faire »."

(Alexandre Lacroix, Contribution à la théorie du baiser, éditions Autrement, 2011, p. 119)

21:00 Écrit par kl loth dans comportements…, love | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : baiser, amour, tendresse, violence, pornographie |

samedi, 10 septembre 2011

Bonne journée !

Photographier des graffs depuis le train, ce n'est guère évident !
Celui-ci, je l'ai raté à plusieurs reprises. Et maintenant il semble avoir été enlevé…

BONNE
JOURNÉE
PETIT COEUR

"Petit coeur" a bien de la chance !

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En réessayant lors d'un autre voyage, c'était encore pire…

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Vu sur la voie ferrée entre Metz et Luxembourg, vers Hettange, au printemps 2010

© kl loth 2010-11

02:42 Écrit par kl loth dans comportements…, de visu, love, street art | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : graff, graffiti, love, amour, voie ferrée, journée |

mardi, 16 août 2011

Vénus et Apollon

Il y a tant à voir dans un lieu qu'on découvre, que malgré un bon sens de l'observation, on ne capte parfois pas tout !

Je n'avais pas eu l'occasion de revoir Saint-Étienne depuis trois ans… Repassant place Jean-Jaurès où j'avais photographié une sculpture représentant un nu de femme que dédaignaient les quelques hommes assis sur le socle, j'eus la surprise de m'apercevoir que je n'avais absolument pas vu une sculpture disposée en parallèle, représentant un nu masculin !

Pourtant les deux statues forment un ensemble intitulé "Apollon et Vénus". Voici ce qu'en dit le site forez-info :

"Tous les Stéphanois connaissent les deux statues nues et couchées aux abords de la place Jean Jaurès dos à la cathédrale. Mais savez-vous qu’elles furent réalisées par l’artiste Paul Belmondo, le père de l’acteur Jean-Paul Belmondo ? Posées en 1951, elles firent scandale car la Vénus et l’Apollon aux attitudes lascives évoquent un couple après leurs ébats amoureux."
(FI, "Sculptures et statues de Saint-Étienne", forez-info.com, consulté le 12/08/11)

Ah la la !

Certes, quand on voit la photoque j'avais prise de "Vénus", on comprend mieux pourquoi je n'avais pas vu "Apollon", que le platane occultait complètement, enfin… j'essaie de me trouver des excuses !

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Une vue rapprochée donne à voir une "customisation" par la population. Ouais, bof ! Dommage…

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© kl loth 2011

01:35 Écrit par kl loth dans art public, love | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : sculpture, art public, venus, apollon, nu, nudité, art, paul belmondo, place, amour |

vendredi, 29 juillet 2011

Le Musée de l'Innocence (Orhan Pamuk)

51jOGxD%2BD8L._SL75_.jpg"C'est en visitant le musée de Castelvecchio à Vérone, en gravissant les marches et en voyant la lumière tomber comme un voile de soie sur les sculptures grâce à l'architecte Carlo Scarpa que pour la première fois je perçus clairement à quoi pouvait être dû le bonheur que me procuraient les musées : cela tenait non seulement à leurs collections mais aussi à l'équilibre dans la disposition des images et des objets. Mais à Berlin, le bâtiment Martin Gropius qui abrita un temps le musée des Arts décoratifs m'enseigna que le contraire aussi pouvait être exact ; avec de l'intelligence et de l'humour n'importe quel objet pouvait être collecté, il fallait conserver tout ce que nous aimions et chaque chose concernant ceux que nous aimions ; même si nous n'avions ni maison ni musée, la poésie de la collection que nous avions constituée serait la demeure de ces objets."

(Orhan Pamuk, Le Musée de l'Innocence, Gallimard, coll. du Monde entier, traduit du turc par Valérie Gay-Aksoy, 2011, p. 628)

Aux environs de 1974, Christian Boltanski réalise une série d'inventaires, livre et installations, présentations d'objets souvent dérisoires, qui posent la douloureuse question : que reste-t-il d'une personne après sa mort ?

À cette période également, l'art contemporain explore la thématique des musées personnels, des mythologies individuelles.

Dans Le Musée de l'Innocence, dont la traduction est récemment parue en France, Orhan Pamuk narre une histoire d'amour et son relatif ratage qui amène le personnage principal, faute d'autres contacts, à dérober et collectionner les objets touchés par la femme qui l'obsède, Füzun (incarnation du Hüzün, forme stambouliote de la mélancolie ?)

À la mort de celle-ci il explore peu à peu le monde des collectionneurs et des musées de par le monde, surtout les plus petits, les plus personnels, tel celui du peintre Gustave Moreau à Paris.

Il est à noter que Pamuk lui-même confectionne actuellement ce musée, faisant basculer dans le monde réel la fiction décrite dans le livre. Les objets concrétisant alors des personnages fictifs. Pamuk se rapproche ainsi fortement des préoccupations de l'art contemporain.

En tout cas, le récit, s'appuyant souvent sur les objets et les lieux, déploie sur plusieurs centaines de pages, les multiples détails de la vie quotidienne stambouliote, observés avec une acuité et un intérêt communicatifs, ainsi que les subtiles variations des tourments du narrateur, en proie à un amour ravageur.

Passionnant !

Pour ma part, j'ai lu ce livre avec un intérêt d'autant plus grand que j'y ai retrouvé nombre de points de convergence avec des préoccupations à l'œuvre dans le travail poursuivi dans le cadre des Ouvrages de Jeune Fille Recluse, même si la situation narrative est différente.

Par exemple, l'intérêt pour musée et collections, la motivation du collectionneur, du conservateur, le type de personnalité concerné, et surtout la possibilité pour les objets de donner corps à un personnage fictif ou simplement absent.

Ce livre touche au plus profond à des interrogations qui ont été, ou sont toujours les miennes.

"Parfois... à partir d'un certain moment, la vie qui s'organise / qu'on organise comme un musée
gigantesque collection
rassemblement
mise à l'abri de tous les souvenirs, de tous les objets auxquels s'est attachée - ne serait-ce qu'un instant - la pensée (sous forme de désir par exemple...)
et puis aussi tous les documents sur soi, sur les autres...
courrier notes sur petits carnets... listes, comptes... dans un gigantesque grimoire... les armoires lorraines... meubles de famille
... l'amas matériel de toute une vie...
peut-être parfois un désir de tout pervertir, falsifier... peut-être que cela revient au même...
et les saccageurs qui détruisent tout
libération ?
sentiment d'une mutilation
dissolution de l'existence - d'un morceau du passé..."

(C. Loth, Ouvrages de Jeune Fille Recluse, 1976-79)

 


Quelques articles : 

Nelly Kapriélan, "Le Musée de l'Innocence, un grand roman d'une beauté à couper le souffle", lesinrocks.com, 26/03/2011

Nelly Kapriélan, "Orhan Pamuk : « L'amour est devenu un ready-made que chaque amant doit avaler »", lesinrocks.com, 19/04/2011

Orhan Pamuk : "J'écris pour me sauver" (entretien), lesinrocks.com, 22/10/2009

"« Le Musée de l'Innocence » de Orhan Pamuk aux éditions Gallimard", blog Musée-Oh, 19/07/2011

"Le Musée de l'Innocence. Orhan Pamuk", Nathalie Crom, Télérama n° 3194, 02 avril 2011

— Chloé Brendlé, "Le Musée de l'Innocence, d'Orhan pamuk, Le Magazine Littéraire, 27/04/2011

 Autobiographie d'Orhan Pamuk sur le site du Prix Nobel

et la référence du livre :
Orhan Pamuk, Le Musée de l'Innocence, Gallimard, coll. du Monde entier, traduit du turc par Valérie Gay-Aksoy, 2011

© kl loth 2011

dimanche, 29 mai 2011

Tout à perdre ? Tout à gagner ?

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"Amour pour ne jamais perdre"

Ça me semble plutôt ambigu…
Y a-t-il amour sans le risque de la perte ?

Vu sur le bâtiment de La Poste à Lyon Croix-Rousse

© kl loth 2011

01:30 Écrit par kl loth dans comportements…, de visu, love, street art | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : graff, graffiti, amour, perte, mur |

mardi, 19 avril 2011

Dans le caniveau…

Dans le caniveau… cette image de couple.
Je ne sais s'il s'agit d'une publicité, ou encore de personnes célèbres…
Une certaine idée du bonheur peut être. Mais là, tout est à terre !

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© kl loth 2011

00:09 Écrit par kl loth dans comportements…, de visu, love | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : couple, image, bonheur, amour, rue, déchet, urbain |