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dimanche, 21 août 2011

Tout droit !

Ça fait longtemps que je n'avais pas publié de photo du cône de chantier géant de Lilian Bourgeat, œuvre d'art public du campus de La Doua à Lyon-Villeurbanne. Alors… voilà !

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photo © kl loth 2011

Commentaires

tu sais où tu peux le mettre ton cône liliputien!...Y'en a marre de ce cône à la con! On dirait du Bertholon! Manque que les fientes de pigeon! (*)

(*) billet d'humeur (mauvaise)

Écrit par : michel jeannès | dimanche, 21 août 2011

Daily Life est un blog qui témoigne de mon quotidien, avec des choses intéressantes, des événement insolites, mais aussi l'ennui, le ressassement, et des coups de gueule.
Or cette "œuvre" d'art public, je dois vivre avec dans mon quotidien, oui, jour après jour, car c'est quasiment la plus proche de mon domicile.

Voilà, vivre une œuvre dans son environnement proche, ce n'est pas la même expérience, la même approche que celle que peut avoir une commission qui sélectionne les projets présentés aux concours.

Ça n'a rien à voir non plus avec les quelques œuvres (de coût modeste) dont j'ai fait moi-même l'acquisition, et qui sont en relation étroite avec ma sensibilité. Une expérience très troublante…

Pour en revenir à l'art public, l'œuvre de René Roche, située tout près du cône, "tient" remarquablement, sans que jamais le regard puisse l'épuiser…
http://tinyurl.com/4446mnu

Mais c'est vrai que je ne l'ai toujours pas montrée ici !

Écrit par : kl loth | lundi, 22 août 2011

"Voilà, vivre une œuvre dans son environnement proche, ce n'est pas la même expérience, la même approche que celle que peut avoir une commission qui sélectionne les projets présentés aux concours."

com/com: c'est bien ce que je pressentais dans mon billet de mauvaise humeur. Participant souvent à des commissions d'acquisition (pas pour cette oeuvre), je pense que la question de l'usager qui se fade au quotidien une oeuvre devrait être plus au centre des préoccupations. mais ça vient, par essais et erreurs. On verra à l'usage de la citoyenne KL-Loth,si ce cône est vivable pour une vingtaine d'années. pour ma part, je pense qu'il s'agit d'une pièce éphémère intéressante mais trop vite effet-merde, hélas. Un chantier n'est d'ailleurs pas fait pour durer, par définition. Je propose donc, et ceci est à prendre comme un "statement", un énoncé conceptuel, de lever le cône et de le repositionner ailleurs afin d'alléger la vision des riverains.

Écrit par : michel jeannès | lundi, 22 août 2011

lever le cône et de le repositionner ailleurs ?

pour plomber la vision des riverains d'ailleurs qui sont allés ailleurs pour trouver du nouveau
pas un cône !

Écrit par : hozan kebo | mardi, 23 août 2011

oui, effectivement, autant achever ceux qui sont sacrifiés!

Écrit par : michel jeannès | mardi, 23 août 2011

Les commentaires sont fermés.