jeudi, 10 novembre 2011
à propos de volatiles, une vraie photo floue des pigeons de Maurizio Cattelan à la Biennale de Venise (by notre envoyé spatial)
Œuvre de Maurizio Cattelan,
photo Michel Jeannès
02:25 Écrit par kl loth dans en revenant de l'expo (de la conf. etc.) | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : art, art contemporain, venise, biennale de venise, exposition, maurizio cattelan |
Commentaires
autocom: ça lui a cloué le bec au colibri-étourneau!
Écrit par : michel jeannès | jeudi, 10 novembre 2011
Bonjour KL,
Vas voir le travail de Jean Luc Charles qui est exposé actuellement à la Maison de la Photographie de Toulon et que tu peux retrouver sur son Myspace là :
http://www.myspace.com/jeanluccharles
La vidéo "The Birds from the pink laurel avenue " ( à visionner à droite sur le site) est un magistral accord entre la poésie des images et la musique.
Écrit par : Arthémisia | vendredi, 11 novembre 2011
Ça me fait penser à cette photo d'oiseaux, perchés sur une "grue", dans Luxembourg :
http://kl-loth-dailylife.hautetfort.com/media/02/02/2149140302.jpg
Cf. le billet du 30 septembre 2011 :
http://kl-loth-dailylife.hautetfort.com/archive/2011/10/12/le-30-septembre-2011.html
Écrit par : kl loth | vendredi, 11 novembre 2011
en fin de compte, c'est vrai que c'est con tous ces zoziaux. Il a bien fait d'en taxidermer 25000, le Maurizio. A la Biennale interdiction de les photographier pour cause de "copyright, patrimoine de l'Etat"( dans la première salle du moins, autorisé dans les autres.Le grand n'importe quoi!)
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 11 novembre 2011
ça en fait vraiment beaucoup. J'imagine que pour réaliser une telle "oeuvre", il doit falloir réinventer la chambre à gaz. le Maurizio il doit pas attendre place San marco que les pigeons tombent tout empaillés.
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 11 novembre 2011
"J'imagine que pour réaliser une telle "oeuvre", il doit falloir réinventer la chambre à gaz" (Michel Jeannès)
Com / com : malheureusement, les chambres à gaz ont bel et bien été réinventées pour les pigeons, puisque des caissons d'« euthanasie » fonctionnant soit avec du gaz, soit avec des pompes à vide, sont actuellement utilisés. L'agonie des pigeons y dure environ cinq minutes…
Bien qu'ayant à subir moi-même les inconvénients des pigeons sur mes rebords de fenêtre, je trouve un tel procédé épouvantable.
Écrit par : kl loth | vendredi, 11 novembre 2011
Oui, je ne comprends pas comment une collectivité peut acquérir une telle réalisation qui devrait, normalement, attirer les foudres des associations comme la SPA. A moins qu'il ne s'agisse d'une chasse aux animaux nuisibles, comme cela a pu arriver en cas de prolifération des rats ou des renards? J'ai entendu parler des dommages causés par les pigeons à Venise. Le maire a enfin réussi à interdire la vente de paquets de graines aux touristes qui nourrissaient les volatiles. Dure bataille je crois car il s'agissait d'un privilège très ancien et donc d'un monopole.
Écrit par : michel jeannès | vendredi, 11 novembre 2011
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