vendredi, 18 novembre 2011
Parlant d'« Ascension »... L'œuvre d'Anish Kapoor à l'église San Giorgio Maggiore à Venise. (photo cdv)
(photo cdv) transmise by michel jeannès
02:11 Écrit par kl loth dans en revenant de l'expo (de la conf. etc.), ping-pong | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : anish kapoor, biennale de venise, biennale de venezia, art, art contemporain |
jeudi, 10 novembre 2011
à propos de volatiles, une vraie photo floue des pigeons de Maurizio Cattelan à la Biennale de Venise (by notre envoyé spatial)
Œuvre de Maurizio Cattelan,
photo Michel Jeannès
02:25 Écrit par kl loth dans en revenant de l'expo (de la conf. etc.) | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : art, art contemporain, venise, biennale de venise, exposition, maurizio cattelan |
samedi, 16 octobre 2010
tant que ça bande !!!! (by Michel Jeannès)
(à clicker pour voir en plus grand)
in exposition "100 sexes d'artiste" par Jacques Charlier Venise 2009
http://www.jacquescharlier-venise2009.be/
photo : michel Jeannès
Note de Daily Life : il s'agit de la participation de Daniel Buren ("tant que ça bande, tout va bien !")
01:50 Écrit par kl loth dans de visu, ping-pong | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : buren, jacques charlier, sexes d'artistes, venise, biennale de venise, bande |
vendredi, 12 juin 2009
Éloge du graffiti (envoi de Michel Jeannès)
À Venise, dans le cadre de la 53e biennale d'art contemporain - juin 2009. Dans les jardins, à la fin de l'exposition à l'Arsenale : "Un buen graffitti no tiene precio." (envoyé par MJ pour KL-Loth)
C'est de l'espagnol et non de l'italien (comme on pourrait s'y attendre vu le lieu), et cela veut dire : "Un bon graffiti n'a pas de prix".
On remarquera qu'en espagnol comme en français, on fait usage du pluriel du mot (graffiti), même au singulier.
Après information complémentaire, cf. le commentaire de Michel Jeannès ci-dessous : la deuxième phrase dit "Por lo demas existe Mastercard"… ce qui se réfère à la campagne de publicité pour la carte de paiement Mastercard, qui a aussi été diffusée en France.
"La campagne de publicité « Priceless » a été lancée en 1997 aux Etats-Unis. Créée par l’agence McCann Erickson, elle est diffusée dans 96 pays et adaptée dans 48 langues.
En France, « Priceless » s’appuie depuis 1999 sur la signature « Il y a certaines choses qui ne s'achètent pas, pour tout le reste il y a MasterCard ». La campagne a permis à la marque d’enregistrer une forte croissance de sa notoriété." (cf. le site de Mastercard)
Voilà, pour citer la source du graffiti avec rigueur, et non pour faire de la pub !
;-)
14:39 Écrit par kl loth dans ping-pong, street art | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : graffiti, street art, biennale de venise |