Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 14 mai 2011

Les visiteurs du soir (Daniel Buren)

Il y a foule dans la troisième galerie du Centre Pompidou Metz pour l'une des soirées gratuites à l'occasion du premier anniversaire de l'ouverture du centre. L'installation de Daniel Buren, « La Ville empruntée, multipliée et fragmentée : travail in situ »métamorphosant le lieu par un habillage de miroirs, donne aux visiteurs qui y déambulent une présence tout-à-fait énigmatique…



© kl loth 2011

lundi, 12 avril 2010

Mise à jour sur kl-loth.com !

La mise à jour de mes archives sur kl-loth.com se poursuit petit-à-petit ! (gros boulot)

C'est au tour de mon exposition à la Mapra (Maison des Arts Plastiques Rhône-Alpes) d'être mise en ligne.
Bon… c'était en 1998 et c'est loin maintenant, et loin de mes préoccupations actuelles.

Voici les fichiers :
l'affiche de l'exposition et le texte de présentation de 1998
l'accrochage de l'exposition et le commentaire de 2010
Les Coups de bâton de Saturne (installation, 1998)
In Situ Palais Saint-Pierre (installation, 1998)
les documents préparatoires

01:30 Écrit par kl loth dans kl loth à l'œuvre | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : kl loth, art contemporain, archive, art, exposition, mapra, installation, dessin |

mardi, 26 juin 2007

Plein les mirettes

Ici et maintenant ?
Maintenant, c'est un vernissage à la galerie BF15 à Lyon, le 21 juin dernier, pour voir une installation de Laurent Pernel.
Mais ici, c'est aussi ailleurs, car l'artiste transforme la galerie actuellement en chantier en l'évocation d'un lieu somptueux, une salle du Ministère de la Culture !
Nul trompe-l'œil, la métamorphose est opérée à l'aide d'un matériau à la fois banal et chargé d'intensité dramatique : des couvertures de survie. Le processus reste évident, et suscite la complicité rêveuse du spectateur…

En juin 2005 déjà, Laurent Pernel avait fait muer la façade de la galerie Roger Tator sise rue d'Anvers en maison… anversoise justement, à l'aide d'aluminium rappelant les tablettes de chocolat (belge ?). Le résultat était stupéfiant !
(exposition Gezichtwerpen)

Il a une approche de l'installation qui pulvérise le travers fréquent de l'installation "spécifique au site" (site-specific), où la focalisation sur les spécificités du lieu amène à la redondance (l'exemple n'est pas de moi, mais il est éloquent : faire une installation sur le thème du nougat à Montélimar…).
Non, ici c'est aussi ailleurs !

Lire aussi : l'interview de Laurent Pernel sur le site L'art est public.

f95a954eac1c3fc1f2de662332c46b68.jpg
1b2ad32222d8510f9f978d880146e399.jpg

lundi, 04 décembre 2006

François Cini et ses dessins habités

François Cini avait montré jusqu'à présent sa recherche sur l'espace public urbain, que ce soit dans le cadre du collectif lidiotduvillageglobal, ou en solo : l'exposition "L'éloge de la pfuitt" (une exposition "mit pfiff" pourrait-on dire en utilisant cette belle expression allemande) à l'Ideth de Lyon, en avril-mai 2006.

Dans sa nouvelle exposition "EMPRUNT(E)S : quelques changements de classe. Dessins habités" (à la bibliothèque du 1er arrondissement lyonnais, du 21/11 au 8/12/2006), il explore la relation aux livres.
Il met en tension son vécu personnel avec la rencontre de l'autre, par le hasard des traces laissées dans les livres des bibliothèques (les marque-pages), les rendez-vous dans les agendas (clin d'œil aux journaux intimes ?), les surprises de l'ego-googling (le serin "cini" !)...
L'accrochage est sautillant, les moyens techniques utilisés sont modestes (crayons) mais mis en œuvre avec un évident plaisir. La main s'approprie patiemment, soigneusement, le bonheur des trouvailles.
Loin des énormes et coûteuses installations des biennales d'art contemporain, destinées à ébaubir un public espéré massif (c'est une question de survie, hélas) et qui laissent un sentiment d'impuissance et d'écrasement, les œuvres stimulantes de François Cini réussissent à ouvrir une brèche dans l'aliénation.
medium_cini-visuel-Emprunt_e_s.jpg

À lire aussi : "Marque-page/François Cini", de Fabienne Swiatly, sur remue.net

22:30 Écrit par kl loth dans en revenant de l'expo (de la conf. etc.) | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : art, art contemporain, françois cini, installation, livres, agendas |