mardi, 22 mai 2012
BÉTONBÉTONBÉTON ad lib…
Le thème du béton apparaît souvent dans les graffitis… Michel Jeannès nous en a montré un exemple il y a quelques jours.
Voici un autre exemple, photographié le 27 avril 2011 sur le campus de la Doua à Lyon-Villeurbanne, mais toujours en place.
L'emplacement choisi, même s'il exploite les rythmes architecturaux d'un bâtiment, n'est pas particulièrement bien choisi, puisque le long d'une voie de tramway particulièrement végétalisée et agréable, véritable coulée verte !
"DU BÉTON DU BÉTON DU BÉTON DU BÉTON… MÊME DANS LES TÊTES"
(détail, photo à CLICKER pour voir en grand !!!)
En face, une phrase plus longue encore,
qui a depuis été décapée :
"LE PASSÉ N'EST PLUS LÀ, L'AVENIR N'EST PAS ENCORE LÀ*, ALORS TOUT CE QU'ON A C'EST ÇA LE PRÉSENT"
* le "A" est le "A cerclé", symbole de l'Anarchie,
mais on remarquera que ce caractère n'est pas disponible sur cette plateforme de blog !
(détail, CLICKER sur la photo pour voir en grand et pouvoir lire la phrase !!!)
22:22 Écrit par kl loth dans de visu, street art, zeitgeist | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : insa, campus, graff, graffiti, politique, béton, urbanisme, société |
samedi, 04 septembre 2010
Œuvres d'art sur le campus de La Doua - Bachir Hadji
Sur l'un des murs pignons des bâtiments du campus de La Doua à Lyon / Villeurbanne se trouve accroché un bas-relief de bronze et de laiton, œuvre du sculpteur lyonnais Bachir Hadji.
Voici ce qu'en dit le site de l'INSA :
"En 2004 et 2005, [celui-ci] a travaillé avec le département Biosciences. De ses rencontres avec les chercheurs, enseignants, étudiants est né un bas relief de bronze et de laiton de 2,60 m x 2,60 m, qui illustre les différents âges de la vie humaine ainsi que la richesse et le grouillement de la vie terrestre. Installée sur le pignon du bâtiment de Biosciences, cette œuvre est bien visible de l'avenue Jean Capelle et du tram. Elle a été financée grâce à l'aide de la Région Rhône Alpes et de la DRAC Rhône Alpes."
Comme le montrent les photos ci-dessous, l'œuvre présente un traitement de surface particulièrement raffiné. Mais le rapport d'échelle à l'environnement et au bâtiment me semble peu convaincant. Et la vision latérale montre que la sculpture est mal intégrée à la façade, comme un pendentif…
L'artiste a probablement été limité par le coût de la technique et des matériaux, les contraintes matérielles de l'espace de travail en atelier…
© kl loth 2006 et 2010
12:59 Écrit par kl loth dans art public | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : art, art contemporain, art public, bas relief, sculpture, bronze, bachir hadji, insa |