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dimanche, 11 février 2007

Les premières fleurs

Enfin !
L'étiquette annonçait "hellébore blue lady", c'est pas tout-à-fait ça...

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Les crocus aussi font leur apparition.
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17:40 Écrit par kl loth dans plantes & jardins | Lien permanent | Commentaires (0) |

samedi, 10 février 2007

Doudou malmené

Un curieux doudou, pendu plutôt que suspendu !

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22:05 Écrit par kl loth dans doudous et autres jouets | Lien permanent | Commentaires (0) |

vendredi, 09 février 2007

Square Henry Bertrand (en hiver)

La végétation du square Henry Bertrand est moins exhubérante que l'été dernier, mais le résultat est loin d'être vilain.
Quelle est cette plante sombre ?

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23:20 Écrit par kl loth dans plantes & jardins | Lien permanent | Commentaires (0) |

jeudi, 08 février 2007

le 8 février 2007

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19:10 Écrit par kl loth dans Dailycieux 2007-1 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciel |

mercredi, 07 février 2007

Impatience

Jour après jour, attendre que les corolles de l'hellébore s'épannouissent !

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19:40 Écrit par kl loth dans plantes & jardins | Lien permanent | Commentaires (0) |

le 7 février 2007

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18:20 Écrit par kl loth dans Dailycieux 2007-1 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciel |

mardi, 06 février 2007

"Agent sensible"

Agent sensible, une notion pertinente et efficace concernant l'activité artistique, trouvée sur le site de transactiv-exe.

19:45 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, rôle et place de l'art | Lien permanent | Commentaires (0) |

La Rolls du quartier…

La vie permet parfois, à quelques privilégiés, de réaliser un rêve… acquérir une Rolls par exemple !
Sans pour autant changer, devenir un autre homme… et la Rolls parcourt des quartiers qui sont loin d'être "beaux" : l'habitus de classe reste le même !

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15:50 Écrit par kl loth dans zeitgeist | Lien permanent | Commentaires (0) |

Ne pas se laisser faire !

"On fait les [des ?] enfants, mais les enfants ne se laissent pas faire."
(Boris Cyrulnik, "À quoi servent les émotions", Le Magazine de la santé, France 5, 06/02/2007)

Une question de survie face à des parents trop étouffants, mais que ceux-ci ne comprennent pas.

14:35 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, comportements… | Lien permanent | Commentaires (2) |

L'image d'un ange

Solveig Dommartin, la trapéziste aux ailes d'ange et à la chevelure solaire des Ailes du désir de Wim Wenders (je préfère le titre original Himmel über Berlin) est décédée (48 ans, crise cardiaque le 11 janvier dernier).
(selon les Cahiers du cinéma n° 620, p. 79)

Ce film déjà, représente pour moi une émotion de plus en plus intense au fil du temps (Im Lauf der Zeit !), émotion que n'entache nullement la polémique autour de Peter Handke.

14:10 Écrit par kl loth | Lien permanent | Commentaires (0) |

dimanche, 04 février 2007

Et la culture ?

Soutenir la création artistique, c'est - pourquoi faut-il donc le rappeler ? - avoir un regard dynamique vers l'avenir, et se soucier de laisser une trace patrimoniale signifiante de notre vécu aux générations futures.
Force hélas est de constater le silence à ce sujet dans l'actuelle campagne présidentielle, silence qui laisse amer si l'on a le souvenir du vif intérêt porté à la culture au début des années 80.
Néanmoins, un sondage effectué par BVA-Orange sur le thème "La politique culturelle et l'élection présidentielle" a été rendu public le 25 janvier dernier.
Les résultats sont bien sûr à prendre avec précaution, puisque les personnes interrogées ne sont pas forcément intéressées, et par conséquent suffisamment informées (moi-même, je n'aurais pas la compétence à juger de sport par exemple). Mais cela donne une bonne indication de ce que pourrait donner la prise en compte de cet aspect dans les choix électoraux. À condition que cela soit le cas, or justement, cette question préalable n'a pas été posée !
Les résultats ne sont pas surprenants, la gauche incarnée par Mme Royal continue à l'emporter en termes de confiance dans le domaine de la politique culturelle, et les Français considèrent toujours le patrimoine comme prioritaire.
Ce qui est en revanche inquiétant, c'est que seuls 29% des sondés pensent que la gauche mènerait une meilleure politique culturelle que la droite.
Et seuls 16% estiment prioritaire de soutenir la création contemporaine et 11%, de développer de nouveaux modes d'expression artistique.
No future !

23:45 Écrit par kl loth dans politique, rôle et place de l'art, zeitgeist | Lien permanent | Commentaires (0) |

Les choses peuvent bouger (selon Gérard Fromanger)

"[…] Il n'y a pas de peintres engagés et d'autres non. Nous ne dominons jamais les événements, ils sont plus forts que nous. On se contente de penser, de stimuler ou de réagir. Mais collectivement ou dans la solitude de l'atelier, les artistes peuvent incarner l'idée que, jour après jour, les choses peuvent bouger. L'idée qu'ils peuvent changer quelque chose dans l'histoire de l'art, même un tout petit peu, ajouter un petit caillou blanc, est une idée tellement forte. C'est d'ailleurs la seule, et qui concerne tous les gens qui inventent, aussi bien les savants que les musiciens, les écrivains - tous ceux qui montrent que ce n'est jamais la fin de l'histoire, la fin du sens, la fin de l'art, la fin de tout. Nous servons à créer de petites subjectivités qui peuvent, après, être exemplaires pour le reste de la société. Selon Deleuze, l'acte de création est un acte de résistance. L'artiste ne peut parler correctement aux autres que s'il parle correctement de ce qu'il a fait. […]"

(Propos de Gérard Fromanger recueillis par Henri-François Debailleux, "Les artistes changent le Sahara avec une poignée de sable", Libération, 16-17/07/2005)

20:10 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, rôle et place de l'art | Lien permanent | Commentaires (0) |

La rue (selon Gérard Fromanger)

"[…] Pour Deleuze, Guattari, Foucault et Barthes, l'inconscient est une usine qui produit de tout, des événements, des sentiments, des situations. C'est une machine, pas une scène. Je suis marqué par toutes ces idées et la rue devient pour moi le moteur de cette machine qui imprègne le privé, le couple, la famille. Elle est le réel qui va profondément bouleverser la vie privée. Il suffit de voir une manifestation, le spectacle de la rue, la beauté, la violence, les drames ou l'exaltation. C'est là où tout se joue, avec 40.000, 200.000, un million de personnes. On s'en rend très bien compte dans les pays qui sont en pleine mutation aujourd'hui. Tout ce qu'ils ont emmagasiné d'inconscient dans leurs foyers, leur communisme réel, leurs républiques populaires, leur assujetissement à l'Union soviétique, tout ce qu'ils ont contenu en eux de refoulé les pousse dans la rue. Ils s'y retrouvent à plusieurs millions et tout bascule. Le réel leur éclate à la figure comme une gifle formidable. Voilà, la rue, c'est ça pour moi, c'est subitement l'effet visible de la vie réelle en train de se faire, face à tout ce qui se tracte,se tait, se fabrique, se refoule, face au non-dit du privé."

(Propos de Gérard Fromanger recueillis par Henri-François Debailleux, "Les artistes changent le Sahara avec une poignée de sable", Libération, 16-17/07/2005)

19:55 Écrit par kl loth dans au fil des lectures | Lien permanent | Commentaires (1) |

samedi, 03 février 2007

Miroir, mon beau miroir !

Un chat qui se regarde... est-ce le stade du miroir ?
Pas tout-à-fait : pour le chat, "Je est un autre" !

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23:15 Écrit par kl loth dans de visu | Lien permanent | Commentaires (2) |

vendredi, 02 février 2007

Le rôle de la critique

Intéressant débat hier soir 1er Février que celui de l'émission Ce soir ou Jamais sur France 3 : "Critiques et artistes : je t’aime, moi non plus !".
Certes seuls quelques aspects de la question ont été abordés, les plus spectaculaires et contestables (stupéfiants extraits d'archives télévisuelles).
Et le travail de fond d'analyse des œuvres n'a guère été évoqué.

Je retiens surtout une belle phrase d'Arnaud Viviant : "La critique c'est de la résistance contre le marché".
OUI !

13:15 Écrit par kl loth dans rôle et place de l'art | Lien permanent | Commentaires (0) |

jeudi, 01 février 2007

No Smoking Apartheid

Que la majeure partie de la journée soit protégée des atmosphères enfumées… je ne m'en plains pas !
Mais la loi va un peu trop loin peut être, en s'attaquant aux moments de convivialité, et en poussant à la séparation fumeurs (out) et non-fumeurs (in, au chaud).
Si je n'ai jamais succombé au tabac, j'ai néanmoins souvent sympathisé avec des fumeurs !
La rigueur de cette loi me convaint d'autant moins que l'État persiste dans son hypocrisie et son aveuglement face aux dégats de l'alcool, vin compris. Rappelons que 5 millions de personnes sont touchées en France, et que l'alcool ravage de surcroît le psychisme, et cause violence et insécurité.

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"Enfin, on ne peut s'empêcher de penser que la mise en cause de la responsabilité individuelle des fumeurs est une manière assez commode d'éviter de mettre en cause d'autres responsabilités collectives ou de puissance publique : ainsi celle de l'Etat, qui a perçu près de 12 milliards d'euros de taxes sur le tabac en 2005 ; ou celle d'une société qui part en guerre contre la cigarette beaucoup plus vigoureusement que contre l'exclusion ou les risques environnementaux. Étonnantes schizophrénies !" ("Le tabac, et après ?", Le Monde, éditorial du 03/02/07)

Le tabac, et après ?
LE MONDE | 02.02.07

© Le Monde.fr

20:35 Écrit par kl loth dans zeitgeist | Lien permanent | Commentaires (0) |

La question culturelle (bis)

"La question culturelle n’est pas politiquement anecdotique : c’est le cœur même de la politique. Car la culture, c’est aussi la libido, que l’activité industrielle tente essentiellement de capter. Les politiques devraient donc d’abord être des politiques culturelles, non pas au sens où un ministère de la culture sert ou dessert les clientèles diverses et variées des métiers de la culture, mais bien comme critique des limites d’un capitalisme hyperindustriel devenu destructeur des organisations sociales en quoi consistent les processus d’individuation psychique et collective."
(Bernard Stiegler, "Le désir asphyxié, ou comment l'industrie culturelle détruit l'individu", Le Monde diplomatique, juin 2004, pages 24 et 25)

15:15 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, politique, rôle et place de l'art, zeitgeist | Lien permanent | Commentaires (0) |