dimanche, 09 décembre 2007
Soirée chez Line
Chez Line des ours qui ont beaucoup vécu !
22:40 Écrit par kl loth dans doudous et autres jouets | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : peluches, ours |
samedi, 08 décembre 2007
Superflux 2007 - Fête des Lumières (Lyon)
À l'occasion de la Fête des Lumières de Lyon, la galerie Roger Tator organise Superflux dans le 7e arrondissement, un parcours d'œuvres lumineuses souvent originales, en tout cas moins tape-à-l'œil que les animations du centre-ville.
Comme l'édition de l'an dernier, les œuvres sont réalisées à partir de grandes boîtes en bois, les "lightboxes".
Une "Musicbox", indépendante du parcours Superflux
ZOÉ BENOIT : "EN ALTERNANCE"
SYLVAIN GADEL & VINCENT FREVILLE : "LIGHT LIGHT"
ARMELLE CARRON : "METTRE LE CIEL EN BOÎTE"
LAURA TODORAN : "LIGHT BOX COSMIQUE"Cette œuvre qui comporte des points qui reflètent la lumière est très difficile à photographier. Les points blancs de la photo apparaissent en utilisant le flash, mais l'œil humain voit des taches de lumière bleue sur un fond plus nocturne.
GUILLAUME CROUZIER : "POUR UN MONDE DE JOUISSANCE À GAGNER, NOUS N'AVONS À PERDRE QUE L'ENNUI"
LAURENT PERNEL (dont j'ai déjà parlé) : "LILIPUT"
Dans l'Îlot d'Amaranthes, LIISA KYRONSEPPA : "HEIJASTKUSIA REFLECTIONS"
23:15 Écrit par kl loth dans art public, en revenant de l'expo (de la conf. etc.), formes & couleurs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Lyon, Fête des Lumières, Superflux 2007, art, art contemporain |
The dark side
The dark side of the "Fête des Lumières à Lyon", c'est des grèves de transport, alors que l'affluence est exceptionnelle. Les conséquences des trajets dans les véhicules restants (ultra-bondés) sont : épuisement, douleurs musculaires qui gâchent la fête, hélas !
Quant aux raisons de la grève ? Aucune information à ce sujet n'est donnée…
22:10 Écrit par kl loth dans comportements… | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : grève, transports en commun, 8 décembre, lyon, fête des lumières |
Disparitions…
Mort de Karl-Heinz Stockhausen le 5 décembre 2007.
J'avais vu (entendu) Sirius aux 5e Rencontres internationales de musique contemporaine de Metz, le 20/11/1976… c'est en lien avec un souvenir personnel fort.
Autre musicien, d'un tout autre genre, Fred Chichin… le 28 novembre. Vu (entendu) les Rita Mitsouko aux Nuits de Fourvière il y a quelques années (samedi 26 juillet 2003). Ambiance très conviviale, beaucoup de spectateurs étant venus en famille, et connaissant les chansons par cœur…
00:50 Écrit par kl loth dans Time goes by… | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : stockhausen, rita mitsouko, fred chichin, musique, décès |
jeudi, 06 décembre 2007
le 6 décembre 2007
16:55 Écrit par kl loth dans Dailycieux 2007-2 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciel, nuages |
le 6 décembre 2007
Le 6 décembre c'est la Saint-Nicolas… fêtée en Lorraine. On ne soulignera jamais assez l'apport de la Lorraine, qui a très fortement contribué à la forme actuelle de la fête de Noël.
Les illuminations aussi… rappelons que beaucoup sont fabriquées à Thionville.
Certes depuis quelques années des villes comme Lyon se sont également engagées dans des illuminations festives.
Et puis, le prénom Nicolas, actuellement je n'aime pas trop l'entendre !
13:18 Écrit par kl loth | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Saint-Nicolas, Noël, illuminations, Lorraine |
mercredi, 05 décembre 2007
le 5 décembre 2007
13:50 Écrit par kl loth dans Dailycieux 2007-2 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciel, nuages |
mardi, 04 décembre 2007
Paris, musée du XXIe siècle (Thomas Clerc)
Tout mode de déplacement a son érotique propre (voiture vite, vélo fluide, marche lente), mais marcher en flânant a quelque chose d'autoréférentiel, le plaisir y vaut pour le plaisir. La déambulation gratuite s'enrichit de la rencontre de hasard, qui ajoute à chaque passage un embryon désirant. (p. 114)
Parmi les ouvrages exposés sur les tables en cette rentrée littéraire 2007, il en est un pour lequel mon bras s'est fébrilement tendu : Thomas Clerc, Paris, musée du XXIe siècle. Le dixième arrondissement, tant le titre évoque de bonnes références : Walter Benjamin et son "Paris, capitale du XIXe siècle", mais aussi Tentative d'épuisement d'un lieu parisien de Georges Perec.
Le projet de Th. Clerc est de grande ampleur : il ne s'agit pas seulement de décrire un lieu parisien, mais Paris tout entier, arrondissement par arrondissement, à commencer par le dixième où réside cet auteur, et qui fait l'objet de ce premier ouvrage.
La méthode employée est celle des notes prises au fil de la promenade(1). L'auteur porte attention aux détails, il se passionne pour l'infra-mince(2), fait la description des circonstances, petits faits contingents et micro-traces du présent tels que les incidents, les poussières, les noms propres(3), enregistre les changements(3) et les commente…
Rien n'est statique : l'auteur marche à des rythmes divers (et doit parfois affronter les réactions des personnes croisées), la ville est saisie dans ses mutations en cours, et le projet tout entier prendra son sens et son format progressivement(4).
Les rues se succèdent par ordre alphabétique sans que jamais l'on ne se lasse. Seul petit regret : les descriptions ne me semblent pas assez poussées… Peut être est-ce dû à l'incompétence en matière de description (relative) qu'avoue Th. Clerc dans une anecdote(5), ce qui laisse la voie libre à l'expression de ses diverses opinions, parfois trop éloignées de la stricte observation. Mais peut être est-ce simplement le risque inhérent à la promenade : l'esprit se laisse divaguer !
(1) p. 62
(2) p. 107
(3) p. 163
(4) p. 207
(5) p. 189
Thomas Clerc, Paris, musée du XXIe siècle. Le dixième arrondissement, éd. Gallimard, coll. L'Arbalète, 2007
Cf. aussi la critique de ce livre par Pierre Assouline.
23:10 Écrit par kl loth dans au fil des lectures | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Thomas Clerc, Paris, littérature, art, ville, promenade |
Des panoramas à l'installation artistique
"Comme l'architecture avec la construction en fer, la peinture, avec les panoramas, à commencé d'échapper à l'art. La multiplication des panoramas atteint son point culminant au moment où apparaissent les premiers passages. Par mille artifices techniques, on s'évertue infatigablement à en faire des lieux voués à la parfaite imitation de la nature. On s'efforce de rendre les variations de lumière dans les paysages, la montée de la lune, le bruissement des cascades. David conseille à ses élèves d'aller dessiner d'après nature dans les panoramas. En recourant ainsi à l'illusion pour reproduire fidèlement les changements naturels, les panoramas annoncent, au-delà de la photographie, le cinéma et le film sonore." (p. 49)
"Les panoramas, qui annoncent un bouleversement dans le rapport de l'art avec la technique, traduisent en même temps un sentiment nouveau de la vie." (p. 50)
(Walter Benjamin, "Paris, capitale du XIXe siècle", texte écrit en 1935, traduction par Maurice de Gandillac revue par Pierre Rusch, in Walter Benjamin, Œuvres III, éd. Gallimard, coll. Folio Essais, 2000)
Les panoramas sont-ils une origine possible de l'installation en art ?
Rappelons qu'avant que ce terme "installation" ne s'impose, les travaux de ce type étaient souvent appelés "environnements".
19:25 Écrit par kl loth dans au fil des lectures | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Walter Benjamin, art, installation(art), panorama |
lundi, 03 décembre 2007
le 3 décembre 2007
17:10 Écrit par kl loth dans Dailycieux 2007-2 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciel, nuages |