Le jardin à Montigny-Lès-Metz (28 avril 2009)

(28/04/09)
La glycine, qui a au moins un demi-siècle, est en fleurs ! Difficile de la photographier en entier, car le jardin étant petit je manque de recul…

Le muguet a envahi plusieurs mètres carrés

L'hellébore (helleborus niger) plantée le mois dernier sous le mirabellier a adopté son nouvel emplacement, sans aucun regret pour son pot et le balcon de Villeurbanne.

Je continue les plantations avec des sedums spectabile dont j'aime le nom : "Herbstfreude", la joie de l'automne… Je rajouterai encore un plant de sedum "Fuldaglut" (Braise de la Fulda), des plants d'heuchères pourpres qui s'étaient resemés spontanément sur le balcon, et des roses trémières (avec l'approbation des voisins qui profiteront de les voir dépasser du muret mitoyen)…
Il a fallu passer beaucoup de temps à extraire les racines des herbes folles qui envahissent le terrain laissé plus ou moins à l'abandon.
À suivre…

Printemps à Metz

Heureusement l'austérité et l'obsession militaire ne sont pas les seules facettes de l'identité messine : il y a aussi un imaginaire néo-gothique (wilhelmien) que je montrerai à une autre occasion… et de superbes espaces verts, car Metz s'est préoccupée depuis au moins une trentaine d'années, de mériter le qualitatif de "ville verte".
Le 27 avril dernier de nombreux arbres et arbustes sont en fleurs…

Plates bandes de l'Esplanade

Devant l'Arsenal, un "labyrinthe" vient d'être installé

Au Jardin Botanique situé à Montigny-Lès-Metz, le plaisir des couleurs…
Tulipes, azalées du Japon…

Là il y a quelques pieds d'heuchères pourpres

le 12 mai 2009

(16h29)

Promenade à Metz

Une brève promenade à Metz, le 27 avril dernier, qui montre quelques aspects de cette ville. Ville qui - on le voit ci-dessous - laisse une forte empreinte guerrière dans les esprits.
Promenade à suivre, forcément, car là-bas il y a beaucoup à voir…

L'arrivée au cœur de la ville par la sortie d'autoroute Metz-Centre

La stèle au Général de Maud'huy

Le monument aux morts, œuvre de Paul Niclausse (inauguré en 1935)

La croix de Lorraine, ici en mosaïculture

La porte Serpenoise

Une trace tricolore, probablement plus liée aux enthousiasmes sportifs qu'au patriotisme

L'Esplanade

La statue du maréchal Ney, œuvre de Charles Pêtre (1828-1907)

Décor avec croix de Lorraine d'un encorbellement, à l'angle de l'avenue de Nancy

© kl loth 2009

Plus de renseignements sur le monument aux morts et la porte Serpenoise ici et sur le quartier de l'Espalande là…

Tautologique !

Une capture d'écran de la colonne de droite de Daily Life, envoyée par Michel Jeannès que je remercie pour son œil particulièrement attentif :

Ironie : le seul fait de poster un nouveau billet fait disparaître cette coïncidence…

Cela me fait penser à cette anecdote rapportée par Christian Fouquet, mon professeur de couleur aux Beaux-Arts : un artiste (dont j'ai oublié le nom) avait retiré les aiguilles de sa montre et inscrit sur le cadran "Il est toujours plus tard que tu ne le penses" !

Too late !

Ce n'est pas toujours facile de photographier un graff, comme ici où une remorque de marché stationne le plus souvent. Quand ce fût possible, ce fût trop tard, l'œuvre ayant été vandalisée…

(Graff du "groupe 2012", yanbo et niko, en allusion à la fin du calendrier maya)

photo © kl loth 2009

Sauvage !!!

Une hyène, il me semble…

photo © kl loth 2009

Miraclette ! (Hozan Kebo)

Hozan Kebo n'aime pas les fondues savoyardes,
mais aime bien les fondus "au noir" :

(HK)

le 10 mai 2009

(17h46)

Si loin du 10 mai 1981…

Miracle mystère

Réapparition à Villeurbanne sur le socle en béton d'un poteau, du graff "míracle" précédemment vu à Lyon. Cette fois-ci — serait-ce un indice ? — il côtoie le mot "míra".
L'accent sur le "i", en forme de spermatozoïde ou de langue de feu, n'est pas un accent tonique de la langue espagnole, puisque dans cette langue, le mot "mira" (regarde), est naturellement accentué à la pénultième syllabe.

(vu le 20/04/09)

photo © kl loth 2009

le 9 mai 2009

(12h03)

(20h20)

Petite leçon d'anglais

Professor Loth précise qu'en anglais le mot graffiti s'utilise comme en italien : singulier = a graffito, pluriel = graffiti, sans "s".
Alors qu'en français on dit un graffiti, des graffitis.

Par contre, pour le mot solo, c'est le contraire : les Français respectent cette fois-ci l'usage italien, un solo, des soli. Et pour les Anglais, le pluriel de solo est solos.

Allez… un petit solo de batterie ?

Swallowed graffiti !

Les graffitis de la montée Vauzelles que je vous présentai il y a peu ont de nouveau été "mangés", recouverts.
On s'aperçoit que le but n'est pas de retrouver un mur immaculé, ce qui est bien entendu légitime, mais de bannir toute représentation, toute signification… Des lignes subsistent. No comments !

photos © kl loth 2009

No blog tonight…

Soirée avec Frasby !

le 7 mai 2009

(15h05)

Centre d'Arts Plastiques de St-Fons : la mairie répond

Des nouvelles du Centre d'Arts Plastiques de Saint-Fons : la mairie de Saint-Fons a répondu.
Le contenu de ce courier fait cependant apparaître que la logique purement comptable est prioritaire sur l'ambition culturelle alors qu'elle devrait plutôt en être un outil.

La mairie recevra également le collectif SOS C.A.P. ! le 14 mai prochain.
À suivre…

Cf. la lettre : courrier réponse 5 mai.pdf

Lost and may be stranded ?

"NE DEMANDES (sic) TON CHEMIN À PERSONNE, TU RISQUERAIS DE NE PLUS POUVOIR TE PERDRE"

Rescue (Hozan Kebo est arrivé !)

"Vite vite ! opération rescue ! on ne peut quand même pas laisser tomber le Père Noel, non ?" (Hozan Kebo)
(cf. ici)

(HK)

le 6 mai 2009

Champ / contrechamp, 15h49

Don't eat graffiti !

Dans la montée Vauzelles à Lyon, combat pour la liberté d'expression !
Les anciens graffitis ont été maladroitement recouverts…

"BOUFFEURS DE GRAFFITIS"

"PAGAILLE URBAINE"

"LA PROCHAINE FOIS

ACHETEZ DE LA PEINTURE GRISE POUR FAIRE PROPRE

SINON JE LE COCHONNERAI DE NOUVEAU"

(vu le 22/04/09)

Par l'auteur des têtes stylisées ?