samedi, 08 septembre 2012
La fiction est dans la rue…
La fiction est dans la rue… un livre de Ian Fleming !
01:22 Écrit par kl loth dans de visu | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : rue, livre, fiction |
vendredi, 24 février 2012
Un livre…
Un jeune homme lit… Mein Kampf dans le train.
Certes, diverses raisons peuvent amener à un tel choix de lecture, l'intérêt pour l'Histoire de la seconde guerre mondiale notamment. Mais le fait de s'afficher avec un livre aussi controversé fait craindre qu'il s'agisse d'un partisan de l'extrême droite… Enfin, je n'en sais rien…
01:49 Écrit par kl loth dans de visu | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : livre, lecture, histoire, nazisme, hitler, mein kampf |
lundi, 14 juin 2010
"La Jeune Fille Recluse"
Les Ouvrages de Jeune Fille Recluse sont mes premiers travaux artistiques, réalisés pendant les trois dernières années de mes études aux Beaux-Arts..
Et comme ça date un peu, que beaucoup de choses ont changé depuis, incluant ma propre évolution, j'ai souhaité en repréciser le contexte, dans un nouveau texte d'introduction, dont l'écriture fut laborieuse en raison de ma vie hachée, éparpillée…
Voici donc ce texte enfin en ligne sur kl-loth.com, à voir ICI !
10:24 Écrit par kl loth dans kl loth à l'œuvre | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : kl loth, art, art contemporain, livre |
dimanche, 19 octobre 2008
Une chaste bibliothèque ?
Jacques Bonnet, dans son livre, Des bibliothèques pleines de fantômes, paru en 2008 aux éditions Denoël, explore les multiples aspects de la passion des livres et de la lecture.
Il rapporte une curieuse anecdote :
"Mais la réalité humaine interfère parfois étrangement avec les principes de classement. Ainsi, Christian Galantaris cite ce règlement d'une bibliothèque anglaise de 1863 : « La parfaite maîtresse de maison veillera à ce que les œuvres des auteurs hommes et femmes soient décemment dissociées et placées sur des rayons séparés. Leur proximité sauf à être mariés ne pouvant être tolérée. » On a confirmation de ce que le principe de rangement d'une bibliothèque peut constituer le signe avant-coureur du dérangement mental de son propriétaire — dans le cas du règlement ci-dessus, celui de la société victorienne elle-même !"
(Jacques Bonnet, Des bibliothèques pleines de fantômes, Denoël, 2008, pp. 47-48)
Ça alors !!!
Les livres copulent-ils en notre absence ?
Si je regarde les livres de ma propre bibliothèque, que font les Tropismes de Nathalie Sarraute, par exemple, avec Les Versets sataniques de Salman Rushdie quand j'ai le dos tourné ? Ils sont bien serrés l'un contre l'autre en tout cas…
14:41 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, comportements… | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : livre, bibliothèques, classement, sexe, genre sexuel |
samedi, 06 septembre 2008
Aléatoire et contrainte (une chaîne littéraire)
Sur la suggestion de Rosa, sur son blog attachant Cybermamies, une participation à une chaîne littéraire…
Le principe des chaînes ne m'enthousiasme pas, me semble un peu vain et je n'aime guère les contraintes… la vie n'en est pas avare, inutile d'en rajouter.
Mais diffuser un extrait d'un bon livre, pourquoi pas ?
Quant à poursuivre la chaîne… à vous de voir ! Je ne désigne personne… si vous en avez envie, n'hésitez pas !
(Que veut dire "taguer" dans ce cas ? Désigner ?
Je connais ce mot dans le domaine du street art, ou en tant que synonyme de "mot clé"…
Damned, mon Petit Robert date de 1999 ! Il va falloir que je lui trouve un petit frère)
1- Citer la personne qui nous a "tagué" ;
2- Indiquer le règlement ;
3- Choisir un livre, l'ouvrir à la page 123 ;
4- Recopier à la 5ème ligne, les 5 lignes suivantes ;
5- Indiquer titre, auteur, éditeur, année d'édition ;
6- Taguer 4 personnes.
Pas si facile en fait… Le premier livre choisi n'offre pas un extrait convaincant, le deuxième (Fabienne Swiatly, Une femme allemande, Lyon, La Fosse aux Ours, 2008) se termine à la page 122 (si !), voilà donc le troisième livre, que j'ai déjà cité sur ce blog : Louis-René des Forêts, Ostinato, Gallimard, coll. L'Imaginaire, 2006 ; 1ère éd. Mercure de France, 1997.
(Le narrateur aperçoit au petit matin un écolier avec des larmes sur les joues)
"Tout ému de compassion, il fait halte et se retourne pour suivre du regard le petit fantôme s'éloigner cette fois au pas de course vers il ne sait que trop quel féroce devoir l'appelle à se rendre ponctuellement chaque jour de sa jeune vie". (p. 123)
À noter que le hasard m'a fait tomber sur une phrase dont la construction m'avait semblé étonnante, et qui de surcroît est de circonstance en cette rentrée 2008.
14:55 Écrit par kl loth dans au fil des lectures | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : livre, littérature, chaîne, hasard, aléatoire, contrainte |
mercredi, 26 septembre 2007
Yasmina Réza prend des notes
"- Tu vis au jour le jour ?
- Oui. Je pense à ce que j'ai à faire chaque jour. C'est bien suffisant.
Silence. Il regarde ses mains. Puis il ajoute :
- Pourquoi penser ?
- C'est une vraie question. Qui vaut pour beaucoup de choses.
- Oui. Pour beaucoup de choses."
(Yasmina Réza, L'aube le soir ou la nuit, Flammarion, 2007, p. 105)
Yasmina Réza a pris pendant des mois des notes sur le candidat à la présidence Nicolas Sarkozy, en s'efforçant de suivre son rythme trépidant.
Peu de temps après, même pas trois mois, elle en publie une sélection, un agencement.
La lecture du livre déçoit, et laisse une impression de superficialité.
Si la précipitation à sortir le livre dans des délais très brefs en est partiellement la cause (remettre cent fois sur le métier ?), il faut aussi reconnaître que l'inconsistance caractérise le candidat Sarkozy tel qu'il se révèle au fil des pages.
Certes le lecteur peut opérer une approche critique s'il dispose de quelques connaissances psychologiques… Sinon le portrait dressé par Mme Réza restera ambigu, laissant prise à la fascination exercée par le candidat, malgré sa vacuité, son mépris et son agitation.
D'autres documents, comme l'analyse de discours par Gérard Miller, ou encore une récente analyse par l'équipe d'Arrêts sur Images, montrent ce que peut mettre au jour une approche critique poussée.
Ce n'est pas le cas dans ce livre, c'est dommage…
00:05 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Yasmina Réza, Sarkozy, politique, pouvoir, littérature, livre |