Button and Chain

On a l'habitude d'associer chaine et boulet. Pensons à l'époustouflant Ball and Chain interprété par Janis Joplin !
Ici, c'est un bouton…

Less is more !

Less is more !
La publicité, c'est vraiment mieux quand il y en a moins.
Ici, elle a momentanément disparu au profit d'une belle surface opalescente. Pourvu que ça dure !

Rentrée

Ce matin, le regard triste d'une jeune fille à l'arrêt de bus…

Leitmotiv

 

L'épineux problème du pouvoir d'achat est devenu depuis un an le leitmotiv.
Bien sûr, les problèmes d'argent, quand de l'argent il n'y en a plus, c'est vraiment lancinant.
Néanmoins le traitement médiatique de la question est réducteur, toujours décontextualisé des questions d'emploi (salaires, conditions de travail…), des questions environnementales (gaspillage, pollution…), des questions politiques (libéralisme, mondialisation…) ou des questions philosophiques (aliénation ?).

Summer's almost gone (encore)

Dans quelques minutes le mois d'août sera fini. Les choses se gâtent…
Horreur de l'hiver, horreur des mois froids et sombres !

le 31 août 2008

 

(voir aussi le ciel du 31 août vu par Frasby)

"L'art, c'est le centre" (M. Pistoletto)

(à propos de la création de l'Arte Povera)
"Un art contre ce qu'on voulait nous imposer comme une position universelle. Il fallait trouver quelque chose de différent sinon on était fichus. […] mais nous avons continué, nous avons fait de l'art un centre de changement dans la vie même.

C'est encore votre principe

…

Comment pourrait-il en être autrement ? Il suffit de voir où en est le monde… Il faut un grand demi-tour. Le progrès nous a conduits à croire que tout était faisable. Il faut tout reconsidérer, tout réorganiser autrement. L'avant-garde, aujourd'hui, doit se retourner, sinon on s'écrasera. Il faut absolument prendre une distance. […]

Et c'est là que vous intervenez

…

C'est la capacité de l'art à toucher à tout qui le rend spirituellement libre. On ne devrait jamais en arriver à un dogmatisme. La pensée doit être mouvement. Et si l'art est capable de se mettre en relation avec la philosophie et la politique, il aura un effet beaucoup plus important que la religion. C'est à la créativité de prendre l'initiative et de savoir qu'elle touche le point vital de l'existence humaine. L'art c'est le centre"

(propos recueillis par Philippe Dagen, "Pistoletto : « L'art, c'est le centre »", Le Monde, 25/08/08).
Souligné par mes soins…

 

le 30 août 2008

32° quand même, il était temps…
Enfin un peu de douceur estivale !

le 29 août 2008

le 28 août 2008

22 les flics

Vingt-deux (oui "22 les flics") pseudo caméras de vidéo-surveillance, aspect chrome rutilant, braquées sur un sac de luxe dans une vitrine de Lyon presqu'île.
Qu'en penser ?

 

le 27 août 2008

T-Shirts (21)

UTOPIES DANS LE DÉCOR

L'ALCOOL TUE
LENTEMENT

WORK HARD TO BE YOURSELF

MODERN CITY LIFE

we
are
good
friends

j'adore la nuit

DO NOT DISTURB

BRING
THE NOISE

Insupportable

NO
EXCUSE
NEEDED

REAC
H MY
SOUL

POSITIVE
MIND AND
SPIRIT

KEEP
ON
SMILING

In the Summertime
when the sun is high

I lost my duck
Reward 100$
(T-Shirt fillette)

LONE DINGO

le 25 août 2008

En pressant le ventre de "Cathy"…

Édifiant ! Un petit article que je découvre en mettant en ligne sur kl-loth.com un cahier abécédaire que je réalisai en 1976, dans le cadre des Ouvrages de Jeune Fille Recluse :

 

"Mais oui…

Elle dit même sa prière

On connaissait les poupées qui marchent, chantent, font pipi… En voici une maintenant qui s'agenouille et fait même sa prière du soir !

En pressant le ventre de « Cathy » (une poupée vendue dans quelques grandes surfaces et surtout par catalogue), elle joint les mains, se met à genoux, et récite une prière avec « sa petite voix enfantine aux charmantes intonations » souligne la publicité.

« Cathy » est peut être un bon moyen de réconcilier les enfants avec les vieux usages et de réapprendre aux fillettes de dire leurs prières du soir, au pied du lit."

("Mais oui… Elle dit même sa prière", Le Républicain Lorrain, probablement du 2 ou 3 octobre 1976, signature manquante)

le 24 août 2008

le 23 août 2008

L'un des quatre lampadaires qui éclairent la Piscine de Rhône, œuvre architecturale spectaculaire, typique des années 60.

l'anonyme des murs…

Un visage anonyme, une présence peu affirmée…
Une image de l'individu contemporain "perdu dans la foule". Déjà affiché sur un granit qui évoque les pierres tombales ?

Que diable !

Une série de petits personnages ont pris possession depuis deux ans des murs de Lyon, déclinés selon des stéréotypes : fillette amoureuse, vieillard avec canne, voleur, policier, fou etc.
Il y a aussi le diable, que je n'ai trouvé qu'une seule fois dans mes parcours !

Je ne sais toujours rien sur l'auteur de ces graffs. Si l'on en croit le site lyonbombing, il/elle s'appellerait "re".
Chaque dessin comporte le symbole "copyright" (©)
D'où, ici, l'ajout au feutre par une autre personne du questionnement "copyleft ?". Le copyleft étant une autre approche des droits d'auteur.

On peut également retrouver ces petits personnages sur l'excellent blog Certains Jours de Frasby…

À rapprocher de cet autre diable…

La nuit arrive