Toucher le ciel (Novalis / J. Hendrix)

"Poser un doigt sur un corps humain, c'est toucher le ciel".
(Novalis cité par Charles Juliet, Ces mots qui nourrissent et qui apaisent. Phrases et textes relevés au cours de mes lectures, P.O.L., 2008, p. 107)

"Scuse me while I kiss the sky"
(Jimi Hendrix, Purple Haze, 1967)

le 30 octobre 2008

SOIS SAGE

Pourtant, du moindre coin peut surgir un rappel à l'ordre…

Ou peut être s'agit-il du vers célèbre de Baudelaire : "Sois sage, ô ma Douleur, et tiens-toi plus tranquille", qui sait ?

le monde comme il va…

Quel optimisme !

Rue de la Victoire

La victoire ? Vraiment ?

© kl loth 2008

Comme un dauphin dans l'eau…

Certaines voitures sont des zoos, cette fois-ci, c'est l'océan où l'on peut deviner un dauphin…

le 27 octobre 2008

© kl loth 2008

le 26 octobre 2008

Où l'on retrouve enfin du rose…

quoique le couchant proprement dit soit caché derrière l'arbre !

(toujours cette difficulté à voir le ciel en ville)

Température maximale (à la demande de Michel Jeannès) : un peu moins de 14°

© kl loth 2008

le 24 octobre 2008

le 23 octobre 2008

Sur les traces de Mesrine

Quelques stencils peu lisibles reprenant des citations de Mesrine.
Est-ce du marketing viral pour le film Mesrine, l'instinct de mort qui vient de sortir la veille ? Ou l'œuvre d'un émule tardif ?

LES LOIS SONT FAITES
POUR LES RICHES
ET LES FORTS
Mesrine

Y A PAS DE HÉROS
DANS LA CRIMINALITÉ
Mesrine

(vu sur les trottoirs à la sortie des stations de métro Charpennes et Gratte-Ciel de Villeurbanne)

Toy toujours !!! (graff palimpseste)

Frasby et moi-même avions parlé il y a quelques semaines d'un imposant graff "vandale" comportant une menace pour qui oserait le "toyer" (recouvrir) = "TU TOY T'ES MORT" !
Ce graff recouvrant lui-même quelque chose… enfoui dans notre oubli ?

Frasby l'a retrouvé il y a peu, orné de barbouillages vengeurs.
Les voici, photographiés par mes soins depuis le trottoir opposé : "ON ÉTÉ (sic) 1er", "FUCK SM", "WE'R (sic) BACK"…
L'auteur du "toy" semble porter le blaze "ITI"…

 

 

La complexité du monde (Eric Burdon)

"Un artiste n'est pas là pour divertir. Son devoir est d'ouvrir les gens à la complexité du monde, aux souffrances des autres."
(Eric Burdon, chanteur, in Charles Juliet, Ces mots qui nourrissent et qui apaisent. Phrases et textes relevés au cours de mes lectures, P.O.L., 2008, p. 40)

 

 

Quelques instants à la "Vogue aux marrons"…

La Vogue aux marrons est une fête foraine qui a lieu tous les ans à la Croix-Rousse.

En voici quelques instants que vous pouvez, si vous le souhaitez, prolonger par la lecture des blogs de Solko et Frasby (ici, ici, ici, ici, ici)…

Jour de vacarme

À l'est…

À l'ouest…

pénible, mais probablement nécessaire !

le 22 octobre 2008

8°, soit douze de moins que hier…

Questions de fond et de forme !

"La forme, c'est le fond qui remonte à la surface"… Une citation de Victor Hugo en vitrine d'un salon de coiffure !
(Le Salon de Franck Pagani à Lyon)

À méditer…

(vu le 26/05/08)

le 21 octobre 2008

Ça se gâte…

Copule

Et puisque j'évoquais il y a peu la supposée "copulation" des livres dans une bibliothèque, cela me fait penser à la signification de "copule" en tant que substantif.
Le Petit Robert cite le sens de ce terme en linguistique : Mot qui relie le sujet au prédicat. Le verbe « être » est une copule.

Une chaste bibliothèque ?

Jacques Bonnet, dans son livre, Des bibliothèques pleines de fantômes, paru en 2008 aux éditions Denoël, explore les multiples aspects de la passion des livres et de la lecture.
Il rapporte une curieuse anecdote :

"Mais la réalité humaine interfère parfois étrangement avec les principes de classement. Ainsi, Christian Galantaris cite ce règlement d'une bibliothèque anglaise de 1863 :  « La parfaite maîtresse de maison veillera à ce que les œuvres des auteurs hommes et femmes soient décemment dissociées et placées sur des rayons séparés. Leur proximité sauf à être mariés ne pouvant être tolérée. » On a confirmation de ce que le principe de rangement d'une bibliothèque peut constituer le signe avant-coureur du dérangement mental de son propriétaire — dans le cas du règlement ci-dessus, celui de la société victorienne elle-même !"
(Jacques Bonnet, Des bibliothèques pleines de fantômes, Denoël, 2008, pp. 47-48)

Ça alors !!!
Les livres copulent-ils en notre absence ?
Si je regarde les livres de ma propre bibliothèque, que font les Tropismes de Nathalie Sarraute, par exemple, avec Les Versets sataniques de Salman Rushdie quand j'ai le dos tourné ? Ils sont bien serrés l'un contre l'autre en tout cas…