Affiché !

Qu'est-ce que je vois là sur ce gigantesque panneau D***** défilant ? Mais c'est une annonce pour l'exposition Mercerize du collectif La Mercerie (dont Michel Jeannès est le chargé de projets artistiques), au Rize à Villeurbanne !

Tous à Metz !

Une campagne de publicité conséquente pour l'ouverture prochaine du Centre Pompidou-Metz.

Affiches vues à Villeurbanne le 25/04/10

Confinement…

Nouvel épisode neigeux à Villeurbanne en ce 9 janvier 2010. Je reste à l'intérieur et photographie depuis les fenêtres… D'autres se risquent dehors.

Les végétaux de la place…

L'ophiopogon nigrescens du balcon… ou ce qu'il en reste

Un sac plastique…

Le terrain d'équitation…

© kl loth 2010

Battre le pavé (2005)

(16/08/2005)

À propos du contexte de Battre le pavé, cf. ici.

© kl loth

Le platane de Jeannot n'est plus un mystère !

Un platane place de Croix-Luizet à Villeurbanne m'intriguait, planté par un certain Jeannot en 1952 (cf. mon billet d'alors).
Un lecteur (que je remercie) nous fournit la réponse dans un commentaire. La voici :

Bonjour.

Ancien Villeurbannais, dans les années 1964 et plus.... J'allais avec mon père sur la place Croix Luizet qui n'était pas alors si grande !

A la place des immeubles actuels, existaient une usine, ainsi que le café "Chez Jeannot". Son patron, Mr Jeannot Tobogras était belge d'origine, c'est pourquoi dans l'arrière cour se trouvaient, en plus des jeux de boule, un Manneken Pis !! Le platane se trouvait dans la cour intérieure du café. (Je crois me souvenir de grands hangars en bois ou se trouvaient des véhicules de pompiers.)

Ce Monsieur était une figure locale, doté d'un grand sens de l'humour. Il collectionnait les poupées de toutes les régions et pays qu'il parcourait avec sa femme. Celles-ci étaient exposées dans son café. Des "blagues" diverses étaient disséminées dans la salle... Entre autre une flèche... Que j'ai moi même suivie... qui montait, descendait, faisait le tour des portes etc... Et quand on arrivait au bout... On lisait ceci : "Si tu es arrivé jusque là, c'est que tu es plus con que les moulins à vent". J'étais excusable, je ne devais pas avoir plus de 10 ans à l'époque, de plus je pense que d'autres se sont fait avoir aussi.

Voila la mémoire de ce fameux Jeannot restituée, d'après mes souvenirs et ceux de mon père que j'ai consulté sur le sujet.

Un café "Chez Jeannot" existe toujours, mais intégré dans les immeubles il a beaucoup moins de charme que l'ancien ! D'après mon Père les tenanciers actuels seraient des descendants du "Père Jeannot".

Allez les questionner!
(Patrice Déchaud)

Le platane, ici photographié en 2007, continue à engloutir la plaque…
le voici deux ans plus tard :

Et voici le Manneken Pis :

Précision importante

Sur une paroi de verre de la station de tramway INSA-Einstein à Villeurbanne, cette inscription à la bombe de neige de Noël…

Down down down

La petite maison qui avait beaucoup plu lorsque je l'avais publiée une première fois, n'est plus, détruite, abattue à grands coups de masse…

Seule consolation : il ne devrait pas y avoir d'immeuble haut et mastoc à cet emplacement.

À suivre ?

LA LIBERTÉ EST FRAGILE

En hommage à Ingrid Betancourt :

"LES OTAGES DU LIBAN RAPPELLENT QUE LA LIBERTÉ EST FRAGILE (19 NOVEMBRE 1987)"
(plaque commémorative placée devant un cèdre du Liban dans le parc des Droits de l'Homme à Villeurbanne)

(vu le 19/06/08)

Plaque commémorative

68 rue des Bienvenus à Villeurbanne… Il y avait même un chat sur la grille, qui s'est esquivé le temps que je sorte l'appareil photo !

 

"Villeurbanne s’enrichit constamment des différences ethniques et culturelles. Toutes participent depuis plus de deux mille ans à sa construction et à son esprit d’accueil et de tolérance. En devenant gallo-romaines, les peuplades allobroges des origines inauguraient un long processus d’échange entre les différentes couches de populations qui allaient constituer Villeurbanne. Tantôt dauphinoise, tantôt savoyarde et, pour finir, rhodanienne (1852), la ville fut toujours un lieu d’affluence de populations. À la fin du dix-neuvième siècle, les Italiens apportent la main d’œuvre dont la France manque tant. En leur honneur, on baptise la rue des Bienvenus."
(information du site de la Mairie de Villeurbanne)

 

C'est rassurant de savoir que la France n'a pas toujours été ce pays de traque brutale à l'émigré qu'elle est devenue aujourd'hui.

Frontière

Rue d'Hanoi, la frontière entre Lyon et Villeurbanne :

Victoire en rose !

Confortable victoire du PS aux élections municipales à Lyon et Villeurbanne !
Villeurbanne reste une forteresse imprenable et à Lyon, "il n'y a pas photo", on se sent enfin chez nous et fiers depuis les changements survenus ces dernières années.

Plus surprenant, Metz, ma ville d'origine enfin à gauche !
Je ne savais pas depuis quand la droite y sévissait… Selon Libération : depuis 1848, instauration du suffrage universel ! Depuis "toujours" donc !
On dirait qu'il va bientôt faire moins froid là-bas !!!

Ça avance !

Les travaux de la place voisine continuent... des plates-bandes style fifties apparaissent !
(à suivre)

les travaux avancent…

Les travaux sur la place Croix-Luizet avancent. Un nouveau revêtement de sol vient d'être coulé, à la teinte insolite, tout-à-fait assortie aux feuilles mortes que le vent balaye de ci de là, et au flamboiement des arbres illuminés par le soleil…

Les "marelles" de Lawrence Weiner

Située au cœur d'un bloc d'immeuble, place Mendès-France à Villeurbanne, l'œuvre de Lawrence Weiner, artiste conceptuel, mériterait d'être davantage connue.

(DE GROSSES PIERRES DÉPLACÉES ENTRE LES CIEUX ET LA TERRE)

Le génocide arménien (Villeurbanne)

Le monument "pour reconnaître le génocide arménien de 1915", situé rue d'Arménie au centre de Villeurbanne, est constitué d'une paroi courbe permettant de se recueillir. Des panneaux métalliques sont insérés, comportant des textes de Muriel Pernin, rédigés avec l'historien Yves Ternon.
La végétation à l'arrière du monument, est laissée à l'abandon. Cela nuit à l'effet d'ensemble !

Monument aux Morts à Villeurbanne

Esplanade Lazare Goujon à Villeurbanne, non loin des bassins-miroirs dont le fond est orné par l'artiste Philippe Favier, se trouve le Monument aux Morts, réalisé par Georges Salendre et inauguré en 1946.
Il symbolise la République enchaînée. De la terre provenant des camps d'extermination est placée sous l'œuvre.

Place Lazare Goujon (Philippe Favier)

La place Lazare Goujon, point central de Villeurbanne, entre l'Hôtel de Ville et le Théâtre National Populaire, vient d'être réaménagée et accueille maintenant une œuvre de Philippe Favier au fond de deux bassins miroirs.
Philippe Favier a réalisé également une œuvre pour le parking souterrain situé en dessous de cette place : Regret des Oiseaux (Lyon Parc Auto).
Le résultat est séduisant et s'intègre bien à son environnement.

Un poète passe

Quartier du Tonkin, à Villeurbanne…

Jeannot mystère…

Place Croix-Luizet, une plaque apposée sur un platane intrigue… Qui est/était Jeannot ?

L'arbre a donc maintenant 55 ans.

La longévité des pubs

Cours Émile Zola à Villeurbanne, une pub qui n'en finit pas de se dégrader… le magasin sur lequel elle attirait l'attention n'existe plus.
Pourtant l'équipe municiaple a eu à cœur d'embellir la ville, en réduisant les espaces publicitaires.