samedi, 17 septembre 2011
and Co (by Hozan Kebo)
"bonne journée ça fait toujours plaisir" (MJ le 11/09 : quel sens du timing !!!)
"bonne journée petit coeur" AND CO .... pour pas faire de jaloux
bise barbue
HK/RL
01:47 Écrit par kl loth dans love, ping-pong | Lien permanent | Commentaires (1) |
samedi, 10 septembre 2011
Bonne journée !
Photographier des graffs depuis le train, ce n'est guère évident !
Celui-ci, je l'ai raté à plusieurs reprises. Et maintenant il semble avoir été enlevé…
BONNE
JOURNÉE
PETIT COEUR
"Petit coeur" a bien de la chance !
En réessayant lors d'un autre voyage, c'était encore pire…
Vu sur la voie ferrée entre Metz et Luxembourg, vers Hettange, au printemps 2010
© kl loth 2010-11
02:42 Écrit par kl loth dans comportements…, de visu, love, street art | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : graff, graffiti, love, amour, voie ferrée, journée |
mercredi, 24 août 2011
Unis pour la vie ? (faux-départ pour un billet)
23:52 Écrit par kl loth dans de visu, love | Lien permanent | Commentaires (7) |
mardi, 16 août 2011
Vénus et Apollon
Il y a tant à voir dans un lieu qu'on découvre, que malgré un bon sens de l'observation, on ne capte parfois pas tout !
Je n'avais pas eu l'occasion de revoir Saint-Étienne depuis trois ans… Repassant place Jean-Jaurès où j'avais photographié une sculpture représentant un nu de femme que dédaignaient les quelques hommes assis sur le socle, j'eus la surprise de m'apercevoir que je n'avais absolument pas vu une sculpture disposée en parallèle, représentant un nu masculin !
Pourtant les deux statues forment un ensemble intitulé "Apollon et Vénus". Voici ce qu'en dit le site forez-info :
"Tous les Stéphanois connaissent les deux statues nues et couchées aux abords de la place Jean Jaurès dos à la cathédrale. Mais savez-vous qu’elles furent réalisées par l’artiste Paul Belmondo, le père de l’acteur Jean-Paul Belmondo ? Posées en 1951, elles firent scandale car la Vénus et l’Apollon aux attitudes lascives évoquent un couple après leurs ébats amoureux."
(FI, "Sculptures et statues de Saint-Étienne", forez-info.com, consulté le 12/08/11)
Ah la la !
Certes, quand on voit la photoque j'avais prise de "Vénus", on comprend mieux pourquoi je n'avais pas vu "Apollon", que le platane occultait complètement, enfin… j'essaie de me trouver des excuses !
Une vue rapprochée donne à voir une "customisation" par la population. Ouais, bof ! Dommage…
© kl loth 2011
01:35 Écrit par kl loth dans art public, love | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : sculpture, art public, venus, apollon, nu, nudité, art, paul belmondo, place, amour |
samedi, 13 août 2011
Blow Up ?
Le 9 octobre 2009 j'avais fait une petite promenade à Luxembourg et publié le billet "Back to Luxemburg"…
Parmi les photos prises ce jour-là, mais non publiée sur le blog, une vue depuis le Pont Adolphe, dont je n'ai remarqué que plus tard un détail…
Peut être une histoire ? Ou pas !
Mais il y a d'autres détails possibles…
© kl loth 2009-2011
00:53 Écrit par kl loth dans de visu, love | Lien permanent | Commentaires (0) |
vendredi, 29 juillet 2011
Le Musée de l'Innocence (Orhan Pamuk)
"C'est en visitant le musée de Castelvecchio à Vérone, en gravissant les marches et en voyant la lumière tomber comme un voile de soie sur les sculptures grâce à l'architecte Carlo Scarpa que pour la première fois je perçus clairement à quoi pouvait être dû le bonheur que me procuraient les musées : cela tenait non seulement à leurs collections mais aussi à l'équilibre dans la disposition des images et des objets. Mais à Berlin, le bâtiment Martin Gropius qui abrita un temps le musée des Arts décoratifs m'enseigna que le contraire aussi pouvait être exact ; avec de l'intelligence et de l'humour n'importe quel objet pouvait être collecté, il fallait conserver tout ce que nous aimions et chaque chose concernant ceux que nous aimions ; même si nous n'avions ni maison ni musée, la poésie de la collection que nous avions constituée serait la demeure de ces objets."
(Orhan Pamuk, Le Musée de l'Innocence, Gallimard, coll. du Monde entier, traduit du turc par Valérie Gay-Aksoy, 2011, p. 628)
Aux environs de 1974, Christian Boltanski réalise une série d'inventaires, livre et installations, présentations d'objets souvent dérisoires, qui posent la douloureuse question : que reste-t-il d'une personne après sa mort ?
À cette période également, l'art contemporain explore la thématique des musées personnels, des mythologies individuelles.
Dans Le Musée de l'Innocence, dont la traduction est récemment parue en France, Orhan Pamuk narre une histoire d'amour et son relatif ratage qui amène le personnage principal, faute d'autres contacts, à dérober et collectionner les objets touchés par la femme qui l'obsède, Füzun (incarnation du Hüzün, forme stambouliote de la mélancolie ?)
À la mort de celle-ci il explore peu à peu le monde des collectionneurs et des musées de par le monde, surtout les plus petits, les plus personnels, tel celui du peintre Gustave Moreau à Paris.
Il est à noter que Pamuk lui-même confectionne actuellement ce musée, faisant basculer dans le monde réel la fiction décrite dans le livre. Les objets concrétisant alors des personnages fictifs. Pamuk se rapproche ainsi fortement des préoccupations de l'art contemporain.
En tout cas, le récit, s'appuyant souvent sur les objets et les lieux, déploie sur plusieurs centaines de pages, les multiples détails de la vie quotidienne stambouliote, observés avec une acuité et un intérêt communicatifs, ainsi que les subtiles variations des tourments du narrateur, en proie à un amour ravageur.
Passionnant !
Pour ma part, j'ai lu ce livre avec un intérêt d'autant plus grand que j'y ai retrouvé nombre de points de convergence avec des préoccupations à l'œuvre dans le travail poursuivi dans le cadre des Ouvrages de Jeune Fille Recluse, même si la situation narrative est différente.
Par exemple, l'intérêt pour musée et collections, la motivation du collectionneur, du conservateur, le type de personnalité concerné, et surtout la possibilité pour les objets de donner corps à un personnage fictif ou simplement absent.
Ce livre touche au plus profond à des interrogations qui ont été, ou sont toujours les miennes.
"Parfois... à partir d'un certain moment, la vie qui s'organise / qu'on organise comme un musée
gigantesque collection
rassemblement
mise à l'abri de tous les souvenirs, de tous les objets auxquels s'est attachée - ne serait-ce qu'un instant - la pensée (sous forme de désir par exemple...)
et puis aussi tous les documents sur soi, sur les autres...
courrier notes sur petits carnets... listes, comptes... dans un gigantesque grimoire... les armoires lorraines... meubles de famille
... l'amas matériel de toute une vie...
peut-être parfois un désir de tout pervertir, falsifier... peut-être que cela revient au même...
et les saccageurs qui détruisent tout
libération ?
sentiment d'une mutilation
dissolution de l'existence - d'un morceau du passé..."
(C. Loth, Ouvrages de Jeune Fille Recluse, 1976-79)
Quelques articles :
— Orhan Pamuk : "J'écris pour me sauver" (entretien), lesinrocks.com, 22/10/2009
— "« Le Musée de l'Innocence » de Orhan Pamuk aux éditions Gallimard", blog Musée-Oh, 19/07/2011
— "Le Musée de l'Innocence. Orhan Pamuk", Nathalie Crom, Télérama n° 3194, 02 avril 2011
— Chloé Brendlé, "Le Musée de l'Innocence, d'Orhan pamuk, Le Magazine Littéraire, 27/04/2011
— Autobiographie d'Orhan Pamuk sur le site du Prix Nobel
et la référence du livre :
Orhan Pamuk, Le Musée de l'Innocence, Gallimard, coll. du Monde entier, traduit du turc par Valérie Gay-Aksoy, 2011
© kl loth 2011
13:03 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, en revenant de l'expo (de la conf. etc.), love | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : roman, orhan pamuk, pamuk, musée, collection, amour, obsession, objets souvenir |
jeudi, 21 juillet 2011
To the world !
À proximité du cône géant de Lilian Bourgeat du campus de la Doua à Villeurbanne, se trouve une usine, une ancienne usine d'incinération il me semble.
Et tout en haut… est maintenant apparu un graff en caractères asiatiques. Ce qui est tout-à-fait insolite dans nos contrées.
Frédéric Buret (photographe), suite à mon appel à traduction sur facebook, apporte quelques eclaircissements :
"你好 J'ai mené l'enquête en mer de Chine... Les trois premiers caractères chinois veulent dire : Je t'aime (une fille faisant sa déclaration à un garçon). En revanche, les trois autres dessous ne veulent rien dire en association (d'après mes sources...) Une signature peut-être..."
© kl loth 2011
03:42 Écrit par kl loth dans comportements…, de visu, love | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : graff, graffiti, orient, usine |
lundi, 20 juin 2011
Clic et tact…
pour ceux qui aiment le noir ?
© kl loth 2011
02:27 Écrit par kl loth dans kl loth à l'œuvre, love | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : noir, blanc, lumière, contact, toucher, étreinte, love |
dimanche, 29 mai 2011
Tout à perdre ? Tout à gagner ?
"Amour pour ne jamais perdre"
Ça me semble plutôt ambigu…
Y a-t-il amour sans le risque de la perte ?
Vu sur le bâtiment de La Poste à Lyon Croix-Rousse
© kl loth 2011
01:30 Écrit par kl loth dans comportements…, de visu, love, street art | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : graff, graffiti, amour, perte, mur |
mardi, 19 avril 2011
Dans le caniveau…
Dans le caniveau… cette image de couple.
Je ne sais s'il s'agit d'une publicité, ou encore de personnes célèbres…
Une certaine idée du bonheur peut être. Mais là, tout est à terre !
© kl loth 2011
00:09 Écrit par kl loth dans comportements…, de visu, love | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : couple, image, bonheur, amour, rue, déchet, urbain |
samedi, 09 avril 2011
Cœur à terre !
© kl loth 2011
01:25 Écrit par kl loth dans Battre le pavé, de visu, love | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : sol, cœur |
lundi, 14 février 2011
Today…
De circonstance aujourd'hui !
Bonne journée, avec ou sans…
"La Ligature / Au cœur du cœur"
© kl loth 2010
À voir en plus grand sur le site intimate-words.net, ou à revoir dans le contexte de ce blog…
12:53 Écrit par kl loth dans kl loth à l'œuvre, love | Lien permanent | Commentaires (2) |
jeudi, 27 janvier 2011
À LA VIE À L'AMOR (Miss.Tic à Arles)
Miss.Tic n'est probablement plus à présenter… Elle appose des pochoirs facétieux sur les murs depuis le milieu des années 80, se mettant en scène dans des saynètes d'inspiration autobiographiques, accompagnées de phrases à la fois lapidaires, profondes et ludiques.
Arrêtée et soumise à une lourde amende, elle solliciterait désormais les autorisations nécessaires, que sa notoriété et la qualité de ses interventions lui permettent d'obtenir.
L'été dernier (2010), en marge d'une exposition à la galerie Arlatino, elle est intervenue sur les murs de la ville d'Arles, sur le thème qui lui est familier des relations amoureuses, avec un petit clin d'œil à la tauromachie…
Pochoirs de Miss.Tic
photographiés par kl loth
11:29 Écrit par kl loth dans love, rôle et place de l'art, street art | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : art, street art, streetart, miss.tic, amour, mort, vie, pochoir, stencil, arles |
lundi, 03 janvier 2011
Ce que j'aime le mieux (comme Picabia)
"Faire l'amour n'est pas moderne mais c'est encore ce que j'aime le mieux".
(Francis Picabia, cité in Arnaud Viviant, "Fou de Suzanne et de Nietzsche ! Les « plagiats » de Picabia", Beaux Arts Magazine n° 319, janvier 2011, p. 50)
13:34 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, love | Lien permanent | Commentaires (6) |
dimanche, 02 janvier 2011
Mother I'd like to fuck (sic)
Sur le quai du tramway, mon téléphone détecte d'autres émetteurs wifi… certaines appellations sont… euh…
© kl loth 2010-2011
02:10 Écrit par kl loth dans comportements…, de visu, love, zeitgeist | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : wifi, réseaux, comportement |
mardi, 28 décembre 2010
Heart of Snow…
photo © kl loth 2010
01:34 Écrit par kl loth dans de visu, formes & couleurs, love | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : heart, snow, love |
mardi, 21 décembre 2010
À l'inconnu de l'annonce…
J'ai eu la surprise de (re)découvrir ce texte en faisant du rangement hier. Je n'en avais gardé aucun souvenir, je me suis même demandé si j'en étais l'auteur. Bon, vu la signature (KL), ça doit être moi, quand même !
Par conséquent, je ne me souviens pas non plus de la raison pour laquelle je l'ai écrit, quel en était le contexte, quel en était le but… Réaction à une annonce réelle ? Publication envisagée ?
Je sais tout juste qu'il a probablement été écrit entre 1987 et 1991.
À l'inconnu de l'annonce…
Je ne sais si je répondrai à votre attente. Je corresponds peut être — plus ou moins — à l'énoncé des qualités physiques et intellectuelles que vous souhaitez. Cependant, seriez-vous en tous points conforme à l'image de l'homme idéal, et serais-je à votre image de la femme idéale, il me semble, malgré tout que la rencontre pourrait ne pas avoir lieu. En effet, l'essentiel se situe peut être dans des aspects plus subtils. Qu'en est-il de la sensibilité tactile…, olfactive… ? Du "rythme", douceur, et, ou, violence… ? Le désir semble-til, ne se laisse pas mettre en mots, mais court à fleur d'épiderme.
Peut être alors, dans cette recherche d'un "élu", faut-il abandonner le langage, et s'en remettre au regard… Il n'y aurait d'autre ressource que ce pari insensé de la fulgurance du regard, pour déchiffrer les signes innombrables… sentir ce que les mots ne peuvent dire… et aller au delà de l'apparence, au-delà du visible…
Devrais-je alors, poursuivre mon errance, croiser d'innombrables passants indifférents, dans cette quête de l'improbable rencontre… ou croiserai-je votre regard ?
Qu'à elle
© kl loth
02:00 Écrit par kl loth dans kl loth à l'œuvre, love, Quatsch | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : lova amour, rencontre, petite annonce |
mercredi, 17 novembre 2010
"Without You I'm Nothing"
J'ai reçu aujourd'hui mes nouvelles cartes postales publiées au sein du réseau d'artistes cARTed !
ENJOY !
« WITHINYOU » © kl loth 2010
carte postale éditée à 800 exemplaires, octobre 2010
10,5 x 15 cm
éd. cARTed
« WITHOUTYOU » © kl loth 2010
carte postale éditée à 800 exemplaires, octobre 2010
10,5 x 15 cm
éd. cARTed
(clicker sur les reproductions pour voir en plus grand
sur kl-loth.com)
01:20 Écrit par kl loth dans kl loth à l'œuvre, love | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : kl loth, carte postale, art, art contemporain |
vendredi, 15 octobre 2010
mais qu'est ce qui fait bander les banderas ? (question posée par Michel Jeannès)
00:01 Écrit par kl loth dans love, ping-pong | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : michel jeannès, drapeau, love |
vendredi, 08 octobre 2010
KL Loth (portrait à l'emporte-pièce, au point de croix et au cône) - by Michel Jeannès
02:18 Écrit par kl loth dans love, ping-pong | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : coeur, kl loth |