dimanche, 30 septembre 2007
le 30 septembre 2007
18:45 Écrit par kl loth dans Dailycieux 2007-2 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciel, nuages |
vendredi, 28 septembre 2007
Pas porté dans le cœur !
20:35 Écrit par kl loth dans de visu | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Grand Lyon, cœur, police, graffiti |
jeudi, 27 septembre 2007
T-Shirts... (17)
FEARS (TEARS ?) IN THE EYE OF THE BEHOLDER
GOOD
AT
BEING
BAD
stand above the crowd
URBAN DISORDER
PSYCH[O]PATRIE (devant)
AUX ARMES PSYTOYENS (au dos)
dance different
Spiritual Ecstasy (écriture gothique)
Diamond
in rough
Game
has
started
Better late than never
No one
is innocent (entre crochets)
Listen to the wind
Wings of fire
Stunt
man
Married Monk
The Belgian Kick
EXPLO
RING
THE
WORLD
BEWARE OF DOG
JE SUIS
ABSOLUMENT
IRRÉSISTIBLE
SO SWEET
HIT
ME WITH
MUSIC
FUN IS FREE
FLOWERS IN PARADISE
Girls Depth
(Liberto)
MATTER OF LIFE
AND
DEATH
I CAN ONLY PLEASE
ONE PERSON A DAY
TODAY ISN'T YOUR DAY
TOMORROW DOESN'T WORK GOOD EITHER
12:02 Écrit par kl loth dans paroles arborées | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : t-shirts, inscriptions sur les t-shirts, paroles, sentences |
mercredi, 26 septembre 2007
Kissing in the rain
18:40 Écrit par kl loth dans doudous et autres jouets | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : doudou, ours, peluche |
le 26 septembre 2007
16:50 Écrit par kl loth dans Dailycieux 2007-2 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciel, nuages |
La citation de Borgès
Au début du dernier livre de Yasmina Réza apparaît une belle citation de Borgès :
Jorge Luis Borges aura écrit les plus beaux mots sur la déchirure de l'amour. Lui dont l'écriture est la moins sentimentale qui soit, lui dont le sujet de l'amour est infime dans l'œuvre.
Quelques phrases, à peine, faufilées parmi les épées, les poignards, les lames de toute sorte.
Seul est nôtre ce que nous avons perdu.
Nôtres sont les femmes qui nous ont laissés, étrangers enfin à l'attente, qui est angoisse, et aux alarmes et aux terreurs de l'espérance.
(…) I am trying to bride you up with uncertainty, with danger, with defeat.
(Yasmina Réza, L'aube le soir ou la nuit, Flammarion, 2007, p. 17)
00:15 Écrit par kl loth dans au fil des lectures | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Borges, amour, Yasmina Réza |
Yasmina Réza prend des notes
"- Tu vis au jour le jour ?
- Oui. Je pense à ce que j'ai à faire chaque jour. C'est bien suffisant.
Silence. Il regarde ses mains. Puis il ajoute :
- Pourquoi penser ?
- C'est une vraie question. Qui vaut pour beaucoup de choses.
- Oui. Pour beaucoup de choses."
(Yasmina Réza, L'aube le soir ou la nuit, Flammarion, 2007, p. 105)
Yasmina Réza a pris pendant des mois des notes sur le candidat à la présidence Nicolas Sarkozy, en s'efforçant de suivre son rythme trépidant.
Peu de temps après, même pas trois mois, elle en publie une sélection, un agencement.
La lecture du livre déçoit, et laisse une impression de superficialité.
Si la précipitation à sortir le livre dans des délais très brefs en est partiellement la cause (remettre cent fois sur le métier ?), il faut aussi reconnaître que l'inconsistance caractérise le candidat Sarkozy tel qu'il se révèle au fil des pages.
Certes le lecteur peut opérer une approche critique s'il dispose de quelques connaissances psychologiques… Sinon le portrait dressé par Mme Réza restera ambigu, laissant prise à la fascination exercée par le candidat, malgré sa vacuité, son mépris et son agitation.
D'autres documents, comme l'analyse de discours par Gérard Miller, ou encore une récente analyse par l'équipe d'Arrêts sur Images, montrent ce que peut mettre au jour une approche critique poussée.
Ce n'est pas le cas dans ce livre, c'est dommage…
00:05 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Yasmina Réza, Sarkozy, politique, pouvoir, littérature, livre |
mardi, 25 septembre 2007
le 25 septembre 2007
19:10 Écrit par kl loth dans Dailycieux 2007-2 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciel, nuages |
Tenu en laisse
"Par l'effet d'une rancune ancienne et longuement ruminée, je ne suis jamais retourné au Musée, qui, touchant le lycée d'aussi près que le Jardin des Plantes, en représentait vraiment pour moi le pôle négatif : les incursions "culturelles" qui m'y amenaient tenu en laisse comme un chien battu m'ont fait prendre la peinture en exécration pour un quart de siècle."
(Julien Gracq, La Forme d'une ville, José Corti, 3° édition 2006, pp. 39-40 (1ère édition 1985))
Certes les musées sont devenus plus attrayants, et les collègiens ne sont plus soumis à une discipline aussi rigoureuse que lors de la jeunesse de Julien Gracq… mais cette citation explique bien le terme de "public captif" qui est utilisé en muséologie.
Comment faire découvrir l'art à des publics qui en sont éloignés sans avoir recours à la contrainte ? Au risque de rebuter même des personnes pourtant sensibles…
18:15 Écrit par kl loth dans au fil des lectures, rôle et place de l'art | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Julien Gracq, musée, public captif |
La fin d'un amour (André Gorz et son épouse)
"Tu es l’essentiel sans lequel tout le reste, si important qu’il me paraisse tant que tu es là, perd son sens et son importance."
(André Gorz, Lettre à D. Histoire d’un amour, éd. Galilée, 2006, p. 73)
Un petit extrait d’un récit-document émouvant... la réponse que je voudrais opposer à tous ceux qui soutiennent que la plupart des couples longue durée ne sont pas à envier, car ils ne s’entendraient guère (?).
André Gorz et son épouse étaient ensemble depuis 59 ans !
André Gorz, âgé de 84 ans, et son épouse gravement malade, se sont suicidés ensemble le lundi 24 septembre 2007.
15:15 Écrit par kl loth dans love | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : André Gorz, amour |
L'aura de l'artiste (Marc Biétry)
Cela fait plaisir quand, une fois n'est pas coutume, on entend parler d'art contemporain sur une grande chaine de télévision.
Aujourd'hui, le "Journal de 13 heures" de France 2 comprenait un petit reportage sur une œuvre spectaculaire en vallée de Maurienne, l'Aura.
Malheureusement, si le sujet abordait les aspects participatifs de l'œuvre réalisée dans le cadre de l'association d'insertion Solid'art Maurienne, la mobilisation humaine d'envergure, les quinze années de la réalisation… une fois de plus l'artiste qui a donné forme au projet n'est même pas cité !
Il s'agit de Marc Biétry, dont le travail mérite l'attention.
À lire : Marion Keroeuf, "Dans la vallée de la Maurienne, du land art tout alu", Libération, 13/09/2007)
14:35 Écrit par kl loth dans rôle et place de l'art | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Marc Biétry, art, art contemporain, land art, art public, Solid'Art, Maurienne |
lundi, 24 septembre 2007
le 24 septembre 2007
Le dernier des beaux jours, je le crains !
15:35 Écrit par kl loth dans Dailycieux 2007-2 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciel, nuages |
dimanche, 23 septembre 2007
le 23 septembre 2007
18:20 Écrit par kl loth dans Dailycieux 2007-2 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciel, nuages |
samedi, 22 septembre 2007
le 22 septembre 2007
19:25 Écrit par kl loth dans Dailycieux 2007-2 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ciel, nuages |
L'Îlot d'Amaranthes 2007 (Emmanuel Louisgrand)
L'Îlot d'Amaranthe a été créé en 2003 par le plasticien-jardinier Emmanuel Louisgrand, à l'angle des rues Sébastien Gryphe et Montesquieu dans le 7e arrondissement lyonnais, dans le cadre de la galerie Roger Tator.
Petit-à-petit, l'îlot s'étend. Actuellement il s'agit de la troisième extension, et des jardiniers du quartier participent à son fleurissement.
19:20 Écrit par kl loth dans plantes & jardins | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Emmanuel Louisgrand, jardin, îlot d'Amaranthes, plante, amaranthe, art des jardins |
Au coin de la rue…
Rencontre entre deux aspects de la culture urbaine en ce coin de rue du 7e arrondissement de Lyon : un graph horizontal et une micro implantation florale :
19:15 Écrit par kl loth dans de visu, plantes & jardins | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : 7e arrondissement, Lyon, ville, graph, trottoir, plantes |
Les panneaux publicitaires de Patrick Mimran
Suspendus au-dessus de l'avenue Foch dans le 6e arrondissement lyonnais, les panneaux publicitaires de Patrick Mimran intriguent. Ils sont faits pour ça d'ailleurs !
17:45 Écrit par kl loth dans en revenant de l'expo (de la conf. etc.) | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Patrick Mimran, artiste, art, art urbain |
Habiter une ville (Julien Gracq)
Habiter une ville, c'est y tisser par ses allées et venues journalières un lacis de parcours très généralement articulés autour de quelques axes directeurs. Si on laisse de côté les déplacements liés au rythme du travail, les mouvements d'aller et retour qui mènent de la périphérie au centre, puis du centre à la périphérie, il est clair que le fil d'Ariane, idéalement déroulé derrière lui par le vrai citadin, prend dans ses circonvolutions le caractère d'un pelotonnement irrégulier. Tout un complexe central de rues et de places se trouve pris dans un réseau d'allées et venues aux mailles serrées ; les pérégrinations excentriques, les pointes poussées hors de ce périmètre familièrement hanté sont relativement peu fréquentes. Il n'existe nulle coincidence entre le plan d'une ville dont nous consultons le dépliant et l'image mentale qui surgit en nous, à l'appel de son nom, du sédiment déposé dans la mémoire par nos vagabondages quotidiens.
(Julien Gracq, La Forme d'une ville, José Corti, 3° édition 2006, pp. 2-3 (1ère édition 1985))
01:05 Écrit par kl loth dans au fil des lectures | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ville, Julien Gracq, parcours, déplacements, mémoire, littérature |
Nantes néant
Vague souvenir de Nantes alors que je feuillette La Forme d'une ville de Julien Gracq (éd. José Corti)…
Je n'en ai conservé aucune image, ne possédant pas d'appareil photo à l'époque.
Regret !
Je n'ai jamais eu l'occasion d'y retourner.
00:35 Écrit par kl loth | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photo, souvenir, Nantes |
Rue Wilhelmine
En fait, elle portait précédemment un autre nom : "Rue de l'Internationale" !C'est une toute petite rue, où se trouvent des écuries abritant les chevaux de l'école d'équitation.
00:20 Écrit par kl loth dans de visu | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : rue, Villeurbanne |