"Je" m'efface…

Jeens effacé, ou presque !
Mais on le retrouvera sur d'autres murs…

Anarchie dominée…

(vu à Lyon)

Vestige du temps…

Les temps se télescopent rue d'Enfer à Metz.

(vu le 28/02/10)
© kl loth 2010

"S'exprimer"

Tout est dit !
Jeens raccourcit son blaze en "Je" et assume l'egotrip !

photo © kl loth 2009

"S'exprimer" (envoi de François Cini)

Envoyée par François Cini, cette photo prise à Lyon (Sud-Ouest de la place Gailleton, 2° arr) du lieu de vie et d'expression d'une dame singulière dont l'aspect et la vêture frappent le regard (bandes de tissus colorés, maquillage approximatif et caricatural, visage ravagé par le temps…).
Peut-on parler de "street art brut" ?

(cliquer pour voir l'image ci-dessus en plus grand)

photo (et détails) © François Cini

Tête de loup…

À regarder attentivement…

paste up : auteur non identifié
photo © kl loth 2009

Berliner Mauer

Hier soir 19 octobre sur arte, un documentaire consacré à ce qu'est devenu le mur de Berlin, ouvert et tombé en 1989.
De nombreux panneaux sont conservés par des collectionneurs. Mais ils sont fréquemment peints et repeints : l'authenticité historique des graffs ne semble guère respectée !
("Où est passé le mur de Berlin", Elke Sasse et Stefan Pannen, diffusé sur arte le 19/10/2009)

J'ai pour ma part pris un certain nombre de photos du mur lors de mes séjours là-bas.
J'ai déjà publié plusieurs fois ma préférée, dans les Cahiers de Leçons de Choses tout d'abord, lors d'un numéro consacré à Berlin.
Puis j'ai intégré cette photo dans l'exposition pour la Cave Littéraire, à l'occasion d'une lecture d'Hubert Lucot. Elle est archivée sur kl-loth.com.

La revoici, pour la première fois sur Daily Life !

"parole" © 80 srelheid R'dam

photo © kl loth 1982

Paste up in Metz

Cela évoque un peu Jef Aérosol, mais un autocollant indique "R.A.F. SAYS YES" (je n'en sais pas plus)…
(vu rue Serpenoise, Metz)

photo © kl loth 2009

Poésie trop poésie

Ce genre de texte poétique sur un mur (ou plutôt la clotûre d'une maison) ? Ça passe parce qu'il y a le contraste avec la réalité de la rue, la rouille…
Mais on est dans le cliché, dans le trop…
On est loin de la poésie contemporaine, des textes de Verheggen ou de Prigent par exemple…
D'ailleurs… qu'est ce que ça donnerait du Verheggen graffé sur un mur ?
Et du Hozan Kebo ?

"LES ANGES DE DELPHES
ONT DES DIAMANTS
AU BOUT DE LEURS
SOURIRES"

Germanophobie

Sur un fond quasi pictural, une phrase probablement sybilline pour beaucoup : "Nike les Shmiths"…
Les "Shmiths" (sic), transcription anglicisée de Schmitd ou Schmitt, un nom de famille typiquement germanique, employé pour évoquer les forces dites "de l'ordre", comparées donc aux cruels et implacables nazis. CRS = SS, CQFD !
La guerre contre l'Allemagne nazie est finie depuis 64 ans, pourtant ce terme ressurgit avec ses connotations germanophobes.

Schmitt est un nom de famille également fréquent dans le nord-est de la France, c'est le nom de famille de ma mère.
Dans le passé, on faisait également usage du nom Fritz pour désigner les soldats de l'armée ennemie. Et c'était le nom de famille de ma grand-mère.
Déjà que beaucoup de Lorrains ont eu l'occasion d'être traités de "Boches" (dérivé du nom propre Bosch) lors de passages en France "de l'intérieur"…
J'ai pour ma part eu l'honneur du qualificatif de "nazi" ! No comments !

© kl loth 2009

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À réécouter (ou à découvrir peut être) : The Smiths, par exemple, "Big Mouth Strikes Again"…

Battre le pavé (2005)

(12/09/2005)

Dripping "Cyface" de Cy Wilson

À propos du contexte de Battre le pavé, cf. ici.

© kl loth

Radical !

Voilà un graffeur qui n'y va pas de main morte !
Daily Life reste sceptique… et préfère des actions plus démocratiques.

(vu depuis le train, d'où le flou)

© kl loth 2009

graffeur non identifié

L'AMOUR EST UN SENS UNIQUE

Cela fait un moment que je souhaite utiliser cette photo d'une inscription au pochoir vue Montée de la Grande Côte à Lyon… Peut être est-ce trop cliché pour m'inspirer ? À suivre, peut être…
Nénette, quant à elle, l'a très pertinement contextualisée (à voir ici).

Pour ma part (en attendant une éventuelle autre idée), je propose cette confrontation avec un panneau de circulation à double-sens, graffité. Certes, c'est moins romantique…

(vu le 26 juin 2009)

(vu le 6 mai 2007, jour de sinistre mémoire)

© kl loth 2009

Partout Olaf ! (suite)

On l'avait vu partout sur les toits, ainsi que sur les camions de marché… Le voilà encore, en vitrine cette fois-ci !

(vu le 07/02/2008)

Retour sur le contexte

Le stencil de la place Saint-Jacques à Metz (précédemment photographié le 29 /11/08) est toujours là.
Cette fois-ci le contrechamp n'est plus le marché de Noël, mais les terrasses des cafés, et leur médiocre affluence de fin de soirée par temps maussade.
Je prends cette fois-ci la photo en plan nettement plus large : à gauche un magasin à l'enseigne EXOTIC dreams, inoccupé, vendu ; à droite eden évasion.com…

(17/07/09)

© kl loth 2009

Famine

Vu au centre-ville de Metz, place Saint-Jacques, face au Marché de Noël, le 29/11/2008

Quelques larmes…

"Ceux qui ne pleurent jamais sont pleins de larmes"

"Il ne servirait à rien de pleurer sans larmes…"

Cette dernière phrase (photographiée il y a deux ans) circule sur internet, le couteau y est souvent remplacé par un poignard.

Donc cette phrase n'a rien d'original…

Lieux communs…

photos © kl loth

Cool Raoool

"LEXOMYL"

photo © kl loth 2009

Éloge du graffiti (envoi de Michel Jeannès)

À Venise, dans le cadre de la 53e biennale d'art contemporain - juin 2009. Dans les jardins, à la fin de l'exposition à l'Arsenale : "Un buen graffitti no tiene precio." (envoyé par MJ pour KL-Loth)

C'est de l'espagnol et non de l'italien (comme on pourrait s'y attendre vu le lieu), et cela veut dire : "Un bon graffiti n'a pas de prix".
On remarquera qu'en espagnol comme en français, on fait usage du pluriel du mot (graffiti), même au singulier.

Après information complémentaire, cf. le commentaire de Michel Jeannès ci-dessous : la deuxième phrase dit "Por lo demas existe Mastercard"… ce qui se réfère à la campagne de publicité pour la carte de paiement Mastercard, qui a aussi été diffusée en France.

"La campagne de publicité « Priceless » a été lancée en 1997 aux Etats-Unis. Créée par l’agence McCann Erickson, elle est diffusée dans 96 pays et adaptée dans 48 langues.
En France, « Priceless » s’appuie depuis 1999 sur la signature « Il y a certaines choses qui ne s'achètent pas, pour tout le reste il y a MasterCard ». La campagne a permis à la marque d’enregistrer une forte croissance de sa notoriété." (cf. le site de Mastercard)

Voilà, pour citer la source du graffiti avec rigueur, et non pour faire de la pub !
;-)

(photo transmise par Michel Jeannès)

Too late !

Ce n'est pas toujours facile de photographier un graff, comme ici où une remorque de marché stationne le plus souvent. Quand ce fût possible, ce fût trop tard, l'œuvre ayant été vandalisée…

(Graff du "groupe 2012", yanbo et niko, en allusion à la fin du calendrier maya)

photo © kl loth 2009